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Elle voulait une vie normale résultat c'est pikachu reine de la météo
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MessageSujet: Avocate Avocate  EmptyDim 13 Sep - 11:30

NEÏLINA ROSALYA MICKAELSON
I could feel you behind my eyes
You’ve gotten into my bloodstream
I could feel you floating in me

nom ~ Mickaelson prénoms ~ Neïlina, ne me demandez surtout pas d'où il sort c'est encore une idée de ma tendre mère en hommage à ses origines italienne je suppose. Mon deuxième prénom c'est Rosalya, le prénom de ma mère. âge, date et lieu de naissance ~ Cela fait maintenant vingt huit année que je suis sur cette terre depuis le 25 juillet 1984 dans l'hôpital de Bari. emploi ~ avocate. groupe ~ 1er gen.caractère ~ Indépendante, légèrement arrogante lorsque l'on m'énerve. Bornée, intrépide, jalouse, vexante lorsque je m'emporte. Mais je suis également réfléchie, aimante, curieuse, joyeuse, intelligente, maligne, courageuse et joueuse. statut financier ~ aisé notemment grace à l'héritage que j'ai percu de mes parents et celui de mes grands parents, malgré tout je m'obstine à ne pas le montrer. statut matrimonial ~ Célibataire. avatar ~ Lyndsy Fonseca
Lors de la nuit du 25 juillet 1984 à Bari, une ville situé dans le sud est de l’Italie Mme Mickaelson accoucha d'une fille. Cette fille c'était moi, mes parents me nommèrent Neïlina Rosalya Mickaleson. Je suis la fille d'Henry Mickaelson, un avocat réputé pour ses nombreuses victoire, mais surtout pour avoir épousé Rosalya Di Ortigo, le célèbre mannequin italien qui à quitter les défilé le jour de la naissance de nom frère aîné Lorenzo Mickelson, un an avant ma mise au monde.

(24 Avril 1995) « Je ne peux plus… » Mme Mickelson, ferma la porte de sa chambre après avoir vérifier une bonne quinzaine de fois que toutes les entrées possible de la maison étaient belle et bien verrouillé et que ses trois enfants étaient bels et bien endormis dans leur lit respectifs. « Je ne peux plus Henry » répéta-elle la voix cassée en regardant son mari les yeux remplis de larmes, ce dernier baissa la tête et la rejoignit pour la prendre dans ses bras tout en murmurant des paroles apaisantes. Des paroles que Rosalya n’écoutait, elle était terrifiée et ceux depuis que les premiers meurtres avait eu lieu. Des personnes de son entourage étaient mortes, elle savait que si cela persistait elle allait devenir folle.

(18 Mai 1995) « Je ne veux pas partir ! » « Lina s’il te plait on en a déjà parler tu sais très bien que ce n’est pas négociable… » « Pourquoi ? J’aime cette ville moi… » « Cette ville est dangereuse pour vous ! Montes finir tes bagages on part ce soir que tu le veuilles ou non ! » Les yeux remplis de larmes, je restais là plantée devant mon père au beau milieu de son bureau, le cœur serré, j’étais enragée. Telle une enfant pourrie gâtée, je poussais un hurlement de colère avant de faire valser un carton contenant un grand nombre de dossier appartenant à mon père tout en hurlant à nouveau : « Je te déteste ! » Sur ces mots je m’en allais, couverte par les grognements furibond de mon père qui ne savait pas vraiment comment réagir face à mon insolence. Une fois dans ma chambre, je claquais la porte, avant de sursauter en entendant la voix de mon grand frère : « Tu te sens mieux ? » « Je veux pas en parler … Sors de ma chambre… » « Ok, comme tu voudras petite-sœur, si tu veux en parler je suis dans ma chambre. »

Comme prévu une heure plus tard une horde de déménageur emmenèrent tout ce qui se trouvait dans la maison, pour tout emmener à l’aéroport où nous attendait l’avion qui allait me faire quitter Woodsboro, pour une durée indéterminée. J’avais onze ans lorsque je fus contrainte à quitter cette ville pour l’Italie. Mes parents avaient affirmé que tous finiraient par s'arranger une fois à Bari, pourtant une part de moi me soufflais que ce n'était pas le cas.

(Novembre 2006) Cela faisait six ans que nous avions emménager dans la maison de famille à Bari. D’après mon père tous aurait du s’arranger une fois là-bas, pourtant cela n’avait pas était le cas. Ma mère continuait de cauchemarder toutes les nuits, la peur du tueur de Woodsboro l’avait poursuivit jusque dans son pays natal. Jour après jour je la voyais se renfermer sur elle-même, sa beauté légendaire se ternissait, elle ne parlait plus un mot d’anglais, tous ses discours se faisait en italien du moins le peu de phrase qu’elle réussissait à prononcer autre que « Sta venendo a prendere anche me » soit que l’homme fantôme comme j’avais fini par le surnommer allait venir la prendre.
J’avais seize ans, mon frère dix-sept et ma petite sœur avait atteint sa quinzième année. Nous nous étions accordés sur un point : Notre mère était folle. Elle avait besoin d’aide. Pourtant lorsque nous avions fait part de notre théorie à notre père, il avait hurlé que sa femme n’était pas folle et que nous devrions avoir honte de dire de telles choses.
Depuis ce jour-là nous avions plus osé parler de se problème qui rongeait notre famille depuis des années. C’est sans doute la plus grosse erreur que nous avons commis…

(24 Décembre 2006) Que faisait-il ? Lançant un regard à mon portable il était six heures du matin. Ce n'était pas normal, il devrait être là, dans quelques heures mes parents et ma soeur allait se lever pour se retrouver autour de l'arbre de Noël, mais Lorenzo n'était toujours pas là... En temps normal je laissais mon aîné faire ce qu'il l'enchantait sans jamais interférer dans sa vie, seulement là c'était un cas d'urgence s'il n'était pas arrivé avant que les autres membres de ma famille se lèvent, il créerait un drame sans nom. Saisissant mon portable, je l'appelais, l'angoisse me tordait l'estomac lorsque je tombais directement sur sa messagerie. Au même instant la sirène des pompiers retentis dans mon quartier d'origine si calme, une larme roula sur ma joue, mon coeur s'affola, tandis que l'envie de vomir me saisissait. Sortant en courant de ma chambre tout en prenant mes clefs de scooter, je suivais l'alarme tant crainte. L'accident c'était produit à une dizaine de mètre de ma maison. Sautant hors de mon scooter qui s'écrasa en un bruit de ferraille contre le bitume, je courais vers la fumée, la vue brouillait par les larmes.

Je n'eus pas le temps de faire plus de deux mètres qu'un des pompiers m'arrêta en pleine ascension, tandis que je voyais un homme étendu par terre, autour de lui se trouvait un nombre incalculable de débit de verre. Il y avait déjà deux personnes mortes sur des brancards, luttant contre l'emprise du pompier du peu de force que je n'avais pas gaspiller en pleure je continuais d'essayer d'accéder aux corps de mon frère en disant d'une voix brisée par la douleur : « No, è mio fratello lasciami andare! ! ! ! ! Questo è mio fratello mi prenderò, ... è mio fratello »

(16 mars 2007) C'était la fin du procès de l'homme qui avait percuté mon frère. Il était ivre, c'était sa seule excuse. Il était saoul, il a perdu le contrôle de sa voiture et a tué quatre adolescents que transportait mon frère. Il avait été, condamné à cinq ans de prison. Une peine insuffisante à mes yeux, mais que pouvais-je bien faire du haut de mes dix-sept ans ? Rien.

Après la mort de mon frère ma mère plongea dans une terrible dépression, quant à moi j'avais trouvé le moyen d'exorciser ma peine via les sports de combats. Chaque personne que je battais me rendait euphorique. La souffrance que j'éprouvais lorsque j'essuyais des défaites, elles me rappelaient que l'homme qui avait tué mon frère était encore en vie.

(24 octobre 2007) J'avais attaqué mes études pour devenir avocate, une nouvelle fac loin de Bari, une fac à Rome. Je ne supportais plus cette ville. Passer devant l'endroit où il était mort était bien trop dure. Je revenais à la maison que pendant les vacances. Un moment que j'appréhendais toujours, malgré la joie que j'avais de revoir ma petite soeur. Dans trois jours j'allais rentrer chez moi. Couché sur mon lit, les écouteurs dans les oreilles, la porte s'ouvrit. Les yeux clos je ne m'apercevais même pas de la différence, ce n'est que lorsqu'une main se posa sur ma chevelure que je sursautais en ouvrant les yeux. C'était mon père, son regard explosé de tristesse malgré le léger sourire qui était logé sur ses lèvres. « Papa, qu'est-ce que tu fais là ? » Une larme s'échappa de ses magnifiques yeux bleu tandis qu'il me prit dans ses bras en me serrant avec violence, avant d'ajouter accompagné d'un sanglot : « Elle est morte Neïlina, ta mère est morte... » « Comment ? » « Elle s'est tuée... »

(30 Aout 2008) Je m'en allais le coeur lourd. Je n'en pouvais plus de l'Italie, pour une fois j'avais eu le choix. Pourtant, pour me permettre de m'en allais j'avais dû affronter les foudres de mon paternel. Ce dernier ne voulant pas me laisser partir, après deux mois de combat acharnés il avait fini par se faire une raison j'étais en âge de choisir où je voulais faire ma vie. J'avais déjà tout prévu l'entreprise dans laquelle je ferais mon stage et l'université dans laquelle je ferais mes études. La seule ombre au tableau était ma soeur, elle ne pouvait pas s'en aller. Mon père le refusait. J'étais forcée de l'abandonner avec un père complètement alcoolique et déprimé depuis la mort de sa femme.

Regardant l'avion qui allait me mener chez moi, je m'arrêtais pour jeter un dernier coup d'oeil à mon portable. Rien. Elle ne viendra pas, une hôtesse vint me prendre mes bagages m'apprenant que l'avion décollerait dans une dizaine de minutes, la remerciant je poussais un soupir et m'avançai vers ce dernier. « LINA ! » Me retournant j'eus juste le temps de rattraper ma petite soeur qui s'agrippa à moi comme si j'allais mourir incessamment sous peu. « Ne me laisse pas seule s'il te plait ... » Sentant mon coeur se serrait, je resserrais un peu plus mon étreinte en murmurant la voix cassée : « Si sans quoi je deviendrais comme les parents... Je reviendrais te voir et je t'appellerais régulièrement. Dès que t'auras l'âge je te ferais sortir de ce pays ... » « Mi scusi signore, ma l'aereo andrà ... » Re-lâchant mon étreinte je regardais l'hôtesse en hochant la tête des larmes plein les yeux. « posso » Embrassant le front de ma petite soeur, je suivais l'hôtesse tandis que ma soeur criait : « C'est promis ? » Un sourire étira mes lèvres et je criais à mon tour : « Promis je ne te laisserais pas tomber ! »

Aujourd'hui je suis avocate. Comme je l'avais promis à ma soeur je suis aller la chercher le lendemain de ses dix huit ans et depuis elle vie chez moi. Quant à mon père il est mort à peine un an après le départ de ma soeur.

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