LOUIS D'ARTAGNAN

Louis Lancelot

Once upon a time there was what there was, and if nothing had happened there would be nothing to tell.

Anecdotes

Il porte le pendentif que sa mère lui a donné. S'en séparer serait pour lui un crime. Il ne sait pas ce qu'il signifie, mais il y est attaché.

Parfois dans ses rêves les plus profond il rêve d'une femme à la chevelure aussi blonde que les blés et des grands yeux bleus. Cette dernière lui parle, assise dans les roseaux avec des larmes aux yeux. Il l'ignore encore, mais c'est le seul souvenir qu'il a de sa mère.

Guenièvre, la femme de son meilleur ami, il l'aime. Pour lui c'est la femme de sa vie, mais c'est également la femme qu'il ne pourra jamais avoir. Partir serait une solution pour cesser de la languir et de souffrir de son ignorance, mais il en est incapable, Arthur lui a demandé de prendre soin de sa femme et de la protéger au péril de sa vie, ce qu'il compte faire, pour le meilleur et pour le pire.

Louis à une peur panique de tout ce qui a des écailles, serpent, dragon, lézard, bref vous voyez le genre.

Aux yeux de Louis, l'unique femme qui est une figure maternelle pour lui est Viviane du Lac, la femme qui la sauver de l'emprise de la Fée Noire.

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Derrière l'écran

Histoire

❝ Je te donne pour nom Prince Louis Dornröschen, fils du prince Philippe et de la princesse Aurore. Grâce à toi ces épreuves m'ont semblé plus douces. Je te promets d'être toujours là pour toi mon petit prince. ❞

Voilà les premiers mots que j'entendais. Ce fut également les premières et dernières paroles que ma mère m'offrit avant de me laisser entre les pattes des animaux de la forêt. Pourquoi avait-elle fait ça ? Je l'ignorais et à dire vrai je ne sais même pas que c'est ce qu'elle a fait, c'est la scène que je revis en rêve sans pour autant comprendre que ce rêve est en réalité un souvenir. Mais revenons-en à nos moutons, après que ma mère eut disparu dieu sait où, j'ai été kidnappé par une femme prénommée Gothel. Cette dernière m'emmena avec elle dans un royaume où rien ne vivait bien longtemps ou disons plutôt que rien ne restait jeune bien longtemps. Là-bas je fus emmené dans une maison avec d’autres garçon où on nous apprenait l’art du combat. Pourquoi ? On ne nous l’a jamais vraiment dit, mais en mon sens la Fée Noire et son acolyte Gothel étaient en train de former une armée pour pouvoir prendre le dessus sur une tierce personne. L’un dans l’autre, j’avais le désir d‘être le meilleur, afin de pouvoir avoir l’attention dont je rêvais. Et le meilleur, je suis devenu. Espion de ces dames, j’étais envoyé en dehors des frontières pour déterminer les dangers à s’immiscer dans une demeure ou encore pour recenser les habitudes des personnes qui allaient voir leur vie brisée en un claquement de doigt. Ce jeu eut aucun mal à me causer un cas de conscience. Je ne voulais plus être cet homme qui brisait une famille, alors un jour pendant une de mes excursions en repérage, je me suis enfui.

C’est au cours de cette fuite que je rencontrais la fée Viviane. Cette dernière m’écouta et m’aida à échapper à mes geôlières en offrant au pendentif que je portais depuis ma naissance un charme de protection empêchant la Fée Noire et Gothel de remettre la main sur moi. Après ça, je vécu avec elle.


Je rencontrais Arthur alors que ce dernier était proche du Lac de ma mère adoptive. Alors qu’il était en train de chasser, je le sauvais d’un accident mortel face à un sanglier et nous devint ami. L’avenir qui se profilait face à moi était doux et sans le moindre nuage, jusqu’à ce que Arthur ne devienne roi et qu’il me présente sa reine Guenièvre. Dès que mon regard croisa le sien, mon cœur s’arrêta de battre et je comprenais que j’étais en train de faire l’erreur de ma vie. Lutter contre mes sentiments fut le combat le plus ardu qu’il m’a été demandé de mener. Je ne pouvais convoiter cette femme que mon meilleur ami aimait et pourtant mon cœur lui refusait d’entendre raison. Cette douce torture n’était pas non plus au gout de Viviane qui ne se gênait pas pour me répéter jour et nuit que je valais mieux que ça et qu’elle ne m’avait pas sauvé pour que je finisse en disgrâce.

La dernière fois que j’ai vu Arthur, il partait sur une nouvelle piste concernant escalibur et il me demanda de veiller sur sa reine. Nouvelle torture ? je pensais que cela ne durerait pas longtemps, mais il fut emporté par le sort noir et Guenièvre devint la reine de Camelot à part entière.

Vingt-huit ans ont passé, et heureusement de nombreuses femmes me permettaient de passer mes pulsions sexuelles refoulées que je n’aurais jamais avec la seule femme que j’aimais. Retrouver Arthur est désormais nécessaire, la reine est enceinte et le monde devient de plus en plus hostile et instable. Quant à moi, je dois m’enfuir avant de mourir de cet amour à sens unique. Seulement partir sans avoir tenu ma promesse est impossible. Arthur doit revenir et je le ferais revenir.

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Louis D'Artagnan

Once upon a time there was what there was, and if nothing had happened there would be nothing to tell.

Anecdotes

Il porte le pendentif que sa mère lui a donné. S'en séparer serait pour lui un crime. Il ne sait pas ce qu'il signifie, mais il y est attaché.

Parfois dans ses rêves les plus profond il rêve d'une femme à la chevelure aussi blonde que les blés et des grands yeux bleus. Cette dernière lui parle, assise dans les roseaux avec des larmes aux yeux. Il l'ignore encore, mais c'est le seul souvenir qu'il a de sa mère.

Louis à une peur panique de tout ce qui a des écailles, serpent, dragon, lézard, bref vous voyez le genre.

Dans sa vie il a un but simple : défendre les opprimées, mais à quel prix ? Tout le monde pense que cette vie lui suffit mais ce n'est pas le cas. Il garde toujours un vide dans son coeur qu'aucune femme n'a réussi à combler, qu'aucune victoire n'a réussi à réduire, rien et ça le rend dingue.

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Derrière l'écran

Histoire

❝ Je te donne pour nom Prince Louis Dornröschen, fils du prince Philippe et de la princesse Aurore. Grâce à toi ces épreuves m'ont semblé plus douces. Je te promets d'être toujours là pour toi mon petit prince. ❞

Voilà les premiers mots que j'entendais. Ce fut également les premières et dernières paroles que ma mère m'offrit avant de me laisser entre les pattes des animaux de la forêt. Pourquoi avait-elle fait ça ? Je l'ignorais et à dire vrai je ne sais même pas que c'est ce qu'elle a fait, c'est la scène que je revis en rêve sans pour autant comprendre que ce rêve est en réalité un souvenir. Mais revenons-en à nos moutons, après que ma mère eut disparu dieu sait où, j'ai été kidnappé par une femme prénommée Gothel. Cette dernière m'emmena avec elle dans un royaume où rien ne vivait bien longtemps ou disons plutôt que rien ne restait jeune bien longtemps. Là-bas je fus emmené dans une maison avec d’autres garçon où on nous apprenait l’art du combat. Pourquoi ? On ne nous l’a jamais vraiment dit, mais en mon sens la Fée Noire et son acolyte Gothel étaient en train de former une armée pour pouvoir prendre le dessus sur une tierce personne. L’un dans l’autre, j’avais le désir d‘être le meilleur, afin de pouvoir avoir l’attention dont je rêvais. Et le meilleur, je suis devenu. Espion de ces dames, j’étais envoyé en dehors des frontières pour déterminer les dangers à s’immiscer dans une demeure ou encore pour recenser les habitudes des personnes qui allaient voir leur vie brisée en un claquement de doigt. Ce jeu eut aucun mal à me causer un cas de conscience. Je ne voulais plus être cet homme qui brisait une famille, alors un jour pendant une de mes excursions en repérage, je me suis enfui.


Conscient que la fée noire, et son bras droit pouvait me retrouver avec une simple formule magique, je partais quérir l'unique fée dont je connaissais le nom : La fée bleue. Comment je la connaissais ? J'avais simplement écouté les discussions entre Gothel et la Fée Noire. En a peine une journée de recherche, cette dernière apparue face à moi, étrangement, elle connaissait déjà mon histoire, elle savait tout. Bien qu'au départ je m'étais méfié d'elle, j'acceptais de lui donner ce collier que je trainais depuis toujours et cette dernière l'enchanta en me jurant que tant que je le porterais aucun sort de localisation ne pourrait me trouver. Vérité ou mensonge ? Je ne pouvais le vérifier alors j'ai choisi de croire en ses mots et de commencer une nouvelle vie, une vie que j'aurais choisi.

Pour commencer cette nouvelle vie, je volais un cheval et chevauchais à travers les royaumes jusqu'à ce qu'un lieu m'attire et me pousse à rester. En chemin, je trouvais une vocation : défendre les opprimés et abuser avec leur consentement du corps voluptueux des femmes. Il en fut ainsi jusqu'à ce que j'entre au service du roi Midas. En son nom je défendais son royaume, et prêtais mon épée à ses alliées en cas de débordement avec mes trois acolytes : Athos, Porthos et Aramis. Une tâche qui prit un tournant imprévu le jour où la Méchante reine lança son sort noir. Une partie de mes amis disparurent et le temps se figea. Des disparus qui me brisèrent le coeur, Constance fut celle que je regrettais le plus. Cette femme avait su apaiser mon âme, calmer une partie de mon mal-être. Pour elle j'avais drastiquement réduis ma liste d'amante, l'amour ? J'ignore si c'était cela, mais oui je voulais la protéger et j'avais lamentablement échoué. Je l'avais laissé aller à cette invitation mondaine chez les Charmants. Elle m'avait supplier de l'accompagner et j'avais envoyé mes compagnons d'armes, Aramis, Portos, Athos et sa femme avec elle en lui disant que je haïssais ce type de soirée. Ce qui était une réalité, nous nous étions disputés, et elle était partie sans me lancer le moindre regard et moi je m'étais hâté à passer ma frustration dans les bras d'une autre femme pour oublier cette pointe de culpabilité qu'elle avait fait naitre en moi.

Durant vingt huit ans, je continuais à arpenter les terres luxuriantes de notre monde à la recherche de mes amis, mais également pour défendre le royaume de mon roi qui s'étaient retrouvé considérablement affaibli.

Depuis peu, les aiguilles des horloges ont repris leur cours normale, la vie reprenait un déroulement normal après vingt huit ans de stagnation. J'aurais dû être heureux de ce dénouement, mais il n'en ait rien, en mon sens il n'annonce rien de bon, aussi je reste sur mes gardes.

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