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JULIETTE ROSE ELIZABETH WHITEQUEEN

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Elle voulait une vie normale résultat c'est pikachu reine de la météo
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MessageSujet: JULIETTE ROSE ELIZABETH WHITEQUEEN JULIETTE ROSE ELIZABETH WHITEQUEEN  EmptyJeu 14 Fév - 18:02

Juliette Rose Elizabeth White-Queen

Pourquoi cet amour querelleur, cette haine amoureuse,  ce tout créé d'un rien, cette pesante légèreté, cette vanité sérieuse, cette innommable chaos des plus aimables forme, ...

▻ Conte d'origine : Roméo et Juliette et Alice aux pays des merveilles (selon les versions ont m'oubli un peu mais bon je vais pas faire de scandale j'ai décidé de calmer mes excès de colère)
▻ Nom du personnage de conte : Juliette Rose Capulet, j'ai également porté le clandestinement le nom de Montaigu mais rapidement cette douce utopie dû prendre fin et désormais je m'appelle  Juliette Rose White-Queen aussi connue sous le nom de la Reine Blanche de Wonderland ou encore Elizabeth.
▻ Lieu de naissance : Vérone, une petite ville que tout le monde connait, une ville où deux familles se déchiraient entre elles la mienne et celle de mon amant. Au cas où vous vous poseriez la question, je suis née dans la demeure familiale devant tout plein d'inconnu histoire qu'ils vérifient bien que j'étais la fille de ma mère.
▻ Âge : 29 années depuis plusieurs printemps
▻ Localisation actuelle : Vous m'auriez demandé ça il y a quelques semaines je vous aurais répondu dans mon royaume, le royaume blanc de wonderland mais désormais j'ai suivi le Chapelier Fou à travers les mondes pour me retrouver à Storybrooke. D'ailleurs tant qu'on en parle ce royaume est vraiment étrange.
▻ Occupation/métier : Reine, je pense que ce métier mérite plus d'une louange c'est plus compliqué qu'il n'y parait au premier abord
▻ Orientation sexuelle : Hétérosexuelle, j'aimerais pouvoir dire que comme toutes femmes de mon rang je n'ai connu qu'un seul homme, mon mari, l'homme que j'ai choisi mais malheureusement ce n'est pas le cas. Cependant et pour avoir essayer un grand nombre de chose je peux jurer que je suis hétérosexuelle.
▻ Statut matrimonial : Théoriquement je suis mariée à Roméo Montaigu, mon cœur et mon âme lui appartiennent, seulement est-ce encore le cas pour lui ? Nous avons été séparé pendant tellement d'année, l'amour peut-il réellement survivre à cela ?
▻ Caractère :  Sentimentale ♅ Douce ♅ Aimable ♅ À l'écoute des autres ♅ Indépendante ♅ Loyale ♅ Réfléchie ♅ Méfiante, depuis la malédiction du cygne ♅ Têtue ♅ Minutieuse ♅ Mystérieuse, c'est le temps passé au pays des merveilles qui me rendit ainsi, étant reine je ne pouvais exprimer mes sentiments comme je le faisais avant. ♅ Introvertie, je n’exprime jamais ma peur ou mes angoisses ♅ Diplomate ♅ Impulsive ♅ Apaisante ♅ Rongée par la culpabilité ♅Haineuse parfois, bien que je refoule cette haine au plus profond de mon être de peur qu’une personne la découvre ♅ Anxieuse ♅ Orgueilleuse ♅ Possessive ♅ J’aime bien tout contrôler et dès que ce n’est pas le cas, je perds pieds et je deviens colérique ♅ Libre ♅ Rêveuse, avant de me coucher ♅ Mélancolique.
▻ Groupe : je fais partie de celle que le Chapelier a ramené à Storybrooke
▻ Feat. de l'avatar : Sophia Bush
Comment tu vis ?

▻ Que penses-tu de la situation de la contrée dans laquelle tu te trouves ? Storybrooke ? C'est sans doute de cette contrée là dont vous voulez que je parle. Le moins que l'on peux dire c'est que cette ville est déconcertante, je ne reconnais rien des objets qui s'y trouve. Les chemins sont aussi noirs que l'ébène, les charrettes roulent sans cheval. Les habitants sont habillés d'une manière étrange bien que dans leur regard je perçois leur jugement. A leur yeux nous sommes des étrangers. J'avoue que j'ai bien du mal à comprendre ce qui m'a poussé à suivre le Chapelier, je sais que ses intentions ne sont pas honorable, mais je voulais le retrouver.
En ce qui concerne notre monde, il est gelé enfin mon royaume y a échappé, mais les terres de l'est sont ensevelis sous la glace à cause de cette reine, j'ignore combien de temps il lui faudra pour atteindre Wonderland. Je préfère ne pas savoir. Je ne veux pas m'allier à Cora. Je ne veux pas me battre contre Ingrid. Peut-être que dans ce nouveau royaume nous trouverons un moyen de la stopper.

▻ En quoi la situation actuelle affecte-t-elle ton existence ? La situation actuelle affecte ma vie plus que ce que j'aurais aimé l'admettre. La montée en puissance d'Ingrid que nous avons fini par surnommer la Reine de Glace, nous a pousser à nous réunir. Qu'en-t-au chapelier en le revoyant j'ai senti le poids de la culpabilité m'assaillir. Je l'ai trahi, sans réellement le vouloir, mais je sais que j'y suis pour quelques choses dans la lueur de folie et de tristesse qui hante son regard. J'aimerais pouvoir réparer le mal que j'ai fait, mais est-ce encore possible ?  

▻ As-tu choisi un camp ? Lequel et pourquoi ? Quel camps ? Vous voulez dire entre deux reines, deux sorcières une ayant orchestrée la mort de ma cadette et l'autre ayant glacé l'intégralité des terres de l'Est ? Aucun, je choisi mon camps personnel, je ne choisirais pas entre deux monstres. Jamais je ne capitulerais avec Cora.

▻ Est-ce que tu sais utiliser la magie ? La magie, je sais l'utiliser depuis que je suis entrée dans le pays des merveilles. Contrairement à d'autres, je ne suis pas née avec, j'ai reçu une bague, cadeau d'un des cinq mages qui gardaient le royaume blanc depuis le décès de leur roi. Cette bague m'a permis d'acquérir le don de l'Atmokinesis (contrôle sur les éléments météorologiques) : Au départ, ma magie était dominée par mes émotions, plus particulièrement par mes émotions négatives. Forte-heureusement, avec le temps j'ai pu apprendre a ne plus être l’instrument de ma magie. Contrairement à l'ancien propriétaire de la bague le vent n'est pas mon élément de prédilection en ce qui me concerne c'est l'orage. La foudre, rien de bien étonnant depuis ma plus tendre enfance cet élément me fascinait, grâce à elle je peux aussi mettre le feu. Je suis également capable de créer de terrible tempêtes et de m'y fondre à l'intérieur. Une capacité qui m'a permis d'acquérir la capacité de voler.

Sinon je possède des savoir en potions, c'est le triste sort qui est réservé aux reines qui vivent avec les mages. Je n'ai pas eu le choix. Cependant je dois avouer que j'ai apprécié ce nouvel apprentissage. Ces nouvelles expériences, qui m'ont permis d'ouvrir à moi une large gamme de possibilité. Cependant, je n'étais pas des plus doué, la présence de mes amis les mages étaient plus que conseillé lorsque je m'attaquais à cette forme de magie.  







Toi derrière l'écran.

▻ Pseudo : Maat' mais on peux aussi m'appeler Mathilde
▻ Code du règlement : vous savez quoi ? Ben je vous le dirais pas et je me valide sur ce coup là
▻ A quelle fréquence penses-tu mettre ton nez dans le livre de contes ?  on va dire minimum 1jour sur 2
▻ Comment as-tu connu le forum? Qu'en penses-tu? Une idée pour l'améliorer ? Sincèrement ? la question se pose pas je m'y suis arrachée mes royales pupilles dessus :inlove:

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MessageSujet: Re: JULIETTE ROSE ELIZABETH WHITEQUEEN JULIETTE ROSE ELIZABETH WHITEQUEEN  EmptyJeu 14 Fév - 18:02

I was Juliette Capulet
JE SAIS LA SENTENCE POUR L'INDÉCENCE DE MES PENSÉES. J'AVAIS L’INNOCENCE, J'AI EU L'INSOLENCE D'AVOIR OSÉ.



Tout commença, il y a vingt neuf ans, dans une ville d’Italie où deux familles se faisaient la guerre depuis des centaines et des centaines d’années. Cette ville se nommait : Vérone. Les deux familles quand à elles étaient réparties aux deux extrémités de cette dite ville. Les Capulet se trouvaient au Sud et les Montaigue au Nord. Comme tant de familles ennemis elles se disputaient le centre du territoire, désireuse de voir la famille ennemie terrassée et son nom éradiqué, pour régner en maître sur Vérone. Quant à moi je suis Juliette Capulet, l’aînée de la famille. Six ans après ma naissance naquit une petite fille, qui allait devenir mon bien le plus précieux : Rosaline. De l’autre côté de la ville, les Montaigue donnèrent naissance à un garçon : Roméo, certainement le plus grand malheur de mon père, qui savait que les Montaigue allaient pouvoir faire perdurer leur nom, tandis que lui, il n’avait que des filles. Ô ne vous méprenez pas, le seigneur Capulet aimait ses filles, à sa manière dira-t-on, mais il aurait préféré avoir au moins un homme dans cette histoire. Si les maîtres de cette ville, se faisaient la guerre sans la moindre pitié, et avaient fait en sorte que leur progéniture ressentent exactement la même haine que eux envers leur voisin des extrêmes, notre histoire nous prouvera qu’ils ont échoués lamentablement.

Avant de rencontrer Roméo ma vie était simple, j'étais cette jeune fille une peu rebelle dont on louait la beauté dans tout le royaume et ceux environnant. Cette fille que ne vivait que pour voir le visage de sa cadette se fendre avec un sourire, et qui aimait voir briller la lueur d'amour dans le regard de son cousin. J'étais cette petite fille, qui une fois adolescente s'était mise à croire au grand amour, cette fille que se voyait déjà reine de Vérone, marié à un gentilhomme qui l'aimerait et qui lui aurait fait des enfants et qui serait morte après avoir eu une vie remplie d'amour, de fou rire, bref une vie parfaite.

Roméo, c'est le nom de la tempête qui a bouleversé toute ma vie réduisant à néant tous les plans que j'avais passé tant d'année à bâtir. Cet homme, je le connais depuis bien longtemps. La première fois que je l'ai aperçu, j'avais huit ans, en grande effronté j'avais mis volontairement fin à ma leçon de piano pour vaquer à des occupations bien plus amusante. Comme à mon habitude j'avais jouer à cache cache avec mon institutrice, aidé par le personnel du château avant de sortir à l'extérieur pour découvrir le monde extérieur. D'ordinaire, je fuguais avec Tybalt seulement cette fois ce dernière n'avait pu me rejoindre, c'est donc en brisant toutes les règles que l'on m'avait imposé que j'ai rencontré Roméo Montaigue pour la première fois. Ce dernier m’avait bousculé avec violence et beaucoup de maladresse, un accident qui m'avait véritablement vexé. LE visage découvert, les fesses à terre, mon jupon plein de poussière et les joues rougies par la honte et la peur de me faire prendre la main dans le sac par un des habitants de mon château. Fidèle à moi même et à ma réputation, j'avais bien fait comprendre aux jeune effronté et à ses deux amis mon agacement. Roméo me présenta ses excuses plus par politesse que par sincérité, avant de me donner son nom et de me demander le mien. En guise de réponse, j'avais répondu que je m'appelais Rose, un demi mensonge, c'était mon second prénom. Un prénom qui j'étais sûre ne lui mettrait pas la puce à l'oreille.









Dix ans étaient passées, dix ans que j'avais croisé ce Roméo impétueux dont j'avais laissé mon esprit l'effacer un peu plus chaque nuit, ne gardant en mémoire que son nom et ses yeux malicieux et son sourire impétueux. Seulement, en dix ans beaucoup de choses avaient changé, mon père s'était récemment intéresser à ma vie, et si pendant des années j'avais désiré que ce jour arrive, ce n'était plus le cas. En temps qu'aînée, je devais me marier la première. Malheureusement, il semblerait que je n'étais pas libre de choisir quel homme aimer. Monsieur Capulet voulait me donner à Pâris, un comte en tout point égale à mon géniteur. Afin de me pousser à accepter le désir de mes parents, ma mère avait fait ce qu'elle savait faire de mieux : organiser un bal en mon honneur.

Ce bal masqué fut celui qui m’horripila le plus entre tous ceux que ma mère avait déjà organisé. Ce n’était pas parce que ce dernier était en mon honneur, à vrai dire ce détail m’importait peu, c’était parce que je savais ce que mes parents avaient en tête à l’issu de ce bal ils avaient prévus de porter un toast pour annoncer les fiançailles de leur filles ainé avec Pâris. Une issue qui me répugnait et qui allait créer une esclandre de Tybalt si je lui donnais une seule bonne raison de le faire, ce que je n’hésiterais pas à faire soit dit en passant. Je crois que le pire dans cette histoire c'était que tous le monde ou du moins un grand nombre de personnes étaient du même avis que moi, notamment ma nourrice, mais personne n’allait parler or mi mon cousin bien entendu.

Dissimulée dans l’ombre à la véranda les mains posées sur la balustrade je regardais les invités, la musique les enivrait tandis que de mon côté je me noyais dans mes idées noires. Je les jalousais un peu je devais l’avouer, derrière mon masque mon visage était éteint, mes lèvres se tordaient en un simulacre de sourire qui n’aurait trompé personne tandis que mes yeux tentaient de sauver la mise sans réellement y parvenir. Pourquoi fallait-il que mes parents s’occupent de moi uniquement dans le but d’agrandir leur puissance. Cet homme, que j’étais censée épouser habitait au château avec nous depuis plusieurs semaines. Je ne le supportais pas, lui et ses bonnes manières tellement surfaite. Il voulait tellement être parfait que cela me dégoûtait. Tout en lui me répugnait de son sourire, à ses manières de parler en passant par sa manière de s’habillait. Malheureusement, comme souvent je n’avais pas mon mot à dire. D'après mon père, ce gentilhomme était l’homme parfait pour moi. Qu’en avait-il de ce qui me fallait ? Lui qui n’avait d’yeux que pour sa guerre avec les Montaigu. Lui qui désirait avoir le plus beau, le plus grand, le plus puissant royaume. Il était comme ce comte Pâris égoïste et aveuglé par l’argent. Si depuis ma plus tendre enfance, j’avais tendance à me rebeller légèrement, sans pour autant décevoir mes géniteurs, cette fois je n’allais pas me laisser faire. J’avais le droit de choisir qui aimer et ce Pâris ne faisait pas partie de mes projets.

Après presque une heure, debout comme un piquet, les yeux dans le vide à regarder cette foule venue pour moi, je fus rejointe par ma nourrice, la seule femme que j’aurais pu appeler ma mère si cela m’avait été permis. Cette dernière n’était guère étonnée de me trouver à cet endroit, bien qu’elle ne cautionnait pas mon attitude de princesse capricieuse. Ce fut grâce à elle que j'avais décidé de mon joindre à la foule. Comme la mère parfaite qu'elle aurait pu être elle avait utilisé les bons mots pour me faire obtempérer en mettant en avant que mon attitude allait mettre Tybalt en colère, allait rendre Rosaline triste et allait rendre la tâche plus simple pour Pâris pour me retrouver.  

C’est à cette soirée que je l'ai revu. Il était accompagné de ses amis, les mêmes qu'il y a dix ans. Automatiquement, je m’étais avancée vers eux, j’étais comme hypnotisée par ce dernier qui contrairement à moi semblait tout à fait à son aise dans toute cette foule. Mon esprit, reprenant le dessus, je stoppais mon avancé brusquement, qu’est-ce-que j’étais en train de faire ? Je ne pouvais pas aller le voir. Nous nous étions vu qu’une seule fois il y a dix ans. Si de mon côté, je n’avais pas oublié ce petit garçon effronté, comment être certaine que c’était aussi son cas ? J’étais pathétique ? Sans compter que lors de notre première rencontre je ne lui avais même pas donné mon véritable prénom. Je ne pouvais décemment me présenter à lui ! Après avoir vérifié que personne ne s’était aperçu de mon changement de comportement, je m’éclipsais non pas sans un dernier regard à l’encontre de Roméo vers la piscine en passant devant mon cousin inquiet et toujours près a tuer toutes personnes qui viendrait corrompre mon bonheur.

Deux heures plus tard, Roméo m’avait retrouvé, ou du moins il m’avait trouvé alors qu’il cherchait ma petite sœur. Un détail que j’apprendrais des années plus tard. J’étais au bord de la piscine, mes orteils chatouillant l’eau pensive. Je cherchais la solution miracle, celle dont Tybalt ou encore ma nourrice m’avait parlé. Pourtant malgré tout mes efforts, je ne voyais aucune issue, qui me permettrait de rester dans ma ville d’origine. Partir ? En étais-je au moins capable ? Non, certainement pas, j’aimais ma famille malgré tout, je savais qu’en restant à Vérone j’étais en sécurité. Était-ce le cas ailleurs ? Ce dernier avait mis fin à mes divagations en me demandant le plus naturellement du monde ce que je faisais aussi éloigné de la fête, manquant au passage de me faire tomber pieds joint dans la piscine. Désireuse de le faire partir, bien qu’il avait faire rebattre mon cœur juste en prononçant ses quelques mots je m’étais montrée détestable en lui répondant que je m’ennuyais et qu’il ne tenait qu’à lui de retourner à cette fête qui visiblement l’amusait tant. Seulement, plutôt que de tourner les talons il s’était rapproché de moi et m’avait répondu sur le même ton condescendant bien que tinté d’humour et il avait fini par s’assoir à mes côtés après de rapide présentation, où cette fois j’avais décliné ma véritable identité.

Ce fut les cris de mon cousin hurlant à l’invasion des Montaigu, qui brisèrent notre bulle. Une accusation qui n’entra pas dans une oreille de sourd, sans crier garde les deux acolytes de Roméo firent leur apparition et ce dernier s’échappa après un bref baise main et la promesse de future retrouvaille. Désorientée, je me retrouvais seule devant ma piscine et quelques secondes après leur disparition ma solitude fut une nouvelle fois rompue par les gardes de ma famille, qui manquèrent de me faire tomber à l’eau. Tybalt enivré par sa haine, ne remarqua même pas mon égarement et me crû sans la moindre hésitation lorsque je lui avais affirmé que j’avais été seule avec mes pensées.










C'est seulement à vingt ans que je comprenais enfin pourquoi nos familles étaient ennemies depuis autant d'années. Nous étions maudit. Les amants maudit, c'est ainsi que les villageois nous appelaient.
Comme toujours, j'en avais fait qu'à ma tête, j'avais foncé tête baissé me donnant à corps perdu dans cet amour impossible. Je ne savais pas à quel point j'allais faire souffrir les personnes que j'aimais. Tybalt était mort, tué par Roméo. L'homme de ma vie, venait de tué mon fidèle cousin, mon meilleur ami, mon confident,... Il l'avait tué pour vengé un de ses fidèles acolyte : Mercutio. 


« Juliette je t’en pris, laisse moi t’expliquer ! » Mon regard oscillant entre Roméo, son épée ensanglanté et le corps inerte de mon cousin, je sentais des larmes inonder mes joues. Il l’avait tué. Passant une main tremblante dans ma chevelure, je me mordais la lèvre inférieure avec rage. Je l’entendais approcher, finissant par détourner les yeux du cadavre de mon cousin pour lui répondre le visage tordu par la haine et la tristesse : « Pas maintenant ! Laisse-moi ! » Ses mots lui firent l’effet d’un coup de poignard. Je le voyais dans son regard, son visage tombe en lambeau sous mes yeux, mais j’avais beaucoup trop mal pour m’en soucier. Prenant mes jambes à mon cou sans lui lancer le moindre regard, je me jetais dans les bras de ma nourrice. J’essayais de lui parler de ce qu’il s’était passé mais mes mots étaient coupés incompréhensible et ressemblaient plus à des gémissements de troll qu’à de réelle parole. J’avais tellement mal que j’entendais à peine les cris stridents de ma génitrice s’élever dans les airs. Les serviteurs s’engouffraient dehors, et les murmures commencèrent à me rendre dingue. Je ne supportais plus d’entendre que Tyblat était mort tué par Roméo. Fuyant une fois de plus je me réfugiais dans ma chambre, mes mains sur mes oreilles. Une question m’hantait : pourquoi avait-il fait ça ? Il avait tout détruit ! […] « Roméo est banni de Vérone » La voix de ma nourrice me parvint, alors que je venais de la majeure partie de ma journée entière à regarder le cadavre de mon cousin. Ma main dans la sienne, j’avais tellement pleuré qu’au bout de deux heures, j’avais perdu la force de penser davantage sans pour autant être capable de me séparer de la preuve que mon mariage avait ôté la vie de l’une des personnes les plus importantes de ma vie. Mon cousin. Mon cerveau mettait plusieurs secondes à analyser l’information, mais à l’instant même où je comprenais le sens de chaque mots que ma nourrice avait prononcé mon cœur se brisa en milles morceaux. J’éclatais une nouvelle fois en sanglots lâchant la main de mon défunt cousin. Sous le choc, mes genoux cédèrent, Rosaline lâcha un cri de surprise, au moment ou mon corps tomba sur le carrelage tandis que ma nourrice se jetait à mes pieds, pour me prendre dans ses bras. Ma petite sœur quant-à-elle caressait ma chevelure, en me demandant de me calmer. Nous restâmes un moment dans cette position, avant que je ne cesse de pleurer pour décrétait d’un timbre précipité : « Je vais aller parler au prince, je vais le convaincre de revenir sur sa sentence ! » Me levant je les repoussais avec violence, dans la précipitation mes pieds se prirent dans ma robe, pour atterrir dans les bras de mon père. Ce dernier me remettant sur mes pieds, il me jugeait sévèrement, son regard se posant sur le corps de son neveu, ce fils qu’il n’avait jamais eu, livide, il me faisait froid dans le dos. Ses mains compressaient mes épaules rageusement quand il ordonna d’un ton qui n’accepterait aucun refus : « Demain tu te marieras à Pâris ! » Nouvelle claque, de nouvelles larmes s’échappèrent de mes yeux pendant que je lâchais sur un même ton : « Non, je … » « Je me fiche de ce que tu veux Juliette, tes caprices ont assez duré, demain tu épouseras Pâris que tu le veuilles ou non ! Ne m’oblige pas à t’enfermer dans tes quartiers ! » Sur ses mots, mon géniteur s’en alla et je fuyais à toutes jambes vers mes quartiers. Je ne pouvais pas, je ne pouvais pas me marier. J’étais déjà marié. Passant devant la piscine de cette demeure qui m’oppressait de plus en plus. Glissant sur le carrelage humide, je tombais à nouveau, ma sœur étant la plus leste elle fut la première à me relever. J’avais touché le fond. « Je ne peux pas me marier Rosaline, je ne peux pas. » Ma cadette me serrant dans ses bras, elle gardait le silence, je pleurais davantage. « Juliette je vous en pris calmez vous » Levant la tête vers la femme qui m’avait élevé comme sa propre fille, je ressentais le désir d’avoir mon mari avec moi, ensemble nous trouverons une solution. « Vas le chercher nourrice, je t'en pris vas chercher Roméo ! » Je pensais réellement que ma nourrice ferait ça pour moi, mais il en était rien elle avait changé de camps. Brutalement elle me répondait : « Acceptez ce mariage Juliette, vous devez apaiser les tensions, cessez ce combat qui ne vous mènera nulle part » La bombe était lancée. « Non » Une nouvelle fois je fuyais dans mes quartiers, mais cette fois j’y parvenais sans tomber.


Épuisée par mes pleurs que personne dans mon château ne pouvait faire taire, je me surprenais à penser aux suicides. Épouser Pâris était impensable, j’étais déjà mariée et je l’avais repoussé. Je voulais me retrouver dans les bras de Roméo, je voulais fuir Vérone. C’était fuir ou mourir. Je ne voyais aucune autre possibilité, avant de mourir, je préférais essayer de le retrouver. C’est pour cette raison que j’avais trainé mon corps jusque dans les sombres quartiers de Vérone pour trouver l’unique sorcière qui y habitait. Mon plan se déroulait à merveille jusqu’à ce que j’aperçoive ma cadette quelques secondes avant que la sorcière ne réponde à mon appel. Rosaline refusait se me laisser seule, incapable de lui tenir tête, je décidais de la prendre avec moi pour mon voyage vers Roméo.

Ce fut la première fois où j’ai été en contact avec de la magie.

En buvant cette potion censée nous mener tout droit au bagne dans lequel se trouvait Roméo. Mais ça ne se passa pas ainsi. La sorcière c'était jouée de nous, pour une raison que j'ignorais. Je ne le saurais certainement jamais. La disparition des sœurs Capulet fut naître milles et une rumeur, des centaines de soldats se mirent à notre recherche. Le malheur qui incombait à la famille Capulet mit fin à la condamnation de Roméo, bien que son bannissement était toujours d'actualité. Sous le regard des fantômes tombés au nom de cet amour interdit, Benvolio, incapable de retourner auprès de son ami sans avoir la moindre piste à lui présenter, trouva à l'endroit où Rosaline et moi avion disparu deux plumes de cygne : une noire et une blanche. il ne savait pas ce que cela signifiait, ni même si ses plumes avaient un quelconque rapport avec les sœurs disparus, mais il les ramassa, se fiant à son instinct et s'en alla quérir Roméo dans le plus grand des secrets.
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MessageSujet: Re: JULIETTE ROSE ELIZABETH WHITEQUEEN JULIETTE ROSE ELIZABETH WHITEQUEEN  EmptyJeu 14 Fév - 18:03

I was un Cygne Blanc
DANS UN BORDEL - L’ANNÉE DE SES 19 ANS - DANS UN BORDEL - L’ANNÉE DE SES 19 ANS - DANS UN BORDEL - L’ANNÉE DE SES 19 ANS.



Je m’étais fait bernée. Cette sorcière n’était qu’un imposteur. Elle était alliée au camp des Montaigu, elle voulait venger ses amis en offrant les sœurs Capulet aux pires crapules qu’elle connaissait. Mais surtout, elle voulait venger sa fille, qui aurait dû épouser Roméo, mais non c’était cette Juliette qui l’avait eu et ça elle ne pouvait pas le supporter. Alors quand elle m’a vu, désemparée, le regard bouffie par les larmes, accompagnée par ma sœur qui misait toute son existence sur moi, l’alliée de ma belle famille ennemie n’a plus hésité une seule seconde. Elle nous fit boire un breuvage qui nous plongea, Rosaline et moi dans un sommeil des plus profonds. Puis elle nous a vendu au gérant d’un bordel, nommait  "Les cygnes". Le principe de ce salon où tous les vices du plaisir se confrontaient était simple, l’aile des cygnes blancs était principalement tendre (enfin pour un bordel), tandis que celle des cygnes noirs était plus sulfureuse.
Lorsque je me suis réveillée, j’étais étendue au coté de ma sœur, perdue, ma tête manquant d’exploser, on nous avait changé pour nous mettre une robe rose qui ressemblait plus à une nuisette qu’à une robe. Réveillant ma sœur, un mauvais pressentiment me tordant l’estomac.  J’avais à peine eu le temps de faire émergé ma petite sœur qu’une femme des plus sulfureuse et vulgaire avait rompu notre solitude pour nous apprendre les règles de la « maison ». Puis nous avons été séparé, j’avais été mené dans l’aile des cygnes blanc et Rosaline celle des cygnes noires. Notre enfer commençait mais j’avais décidé que nous y resterions pas, nous n’étions pas des catins.



Je venais de me faire frapper pour la première fois. Je m’étais refusé à un homme des plus répugnants. Je ne pouvais pas être cette femme. Ces vêtements n’étaient pas les miens. L’atmosphère étouffante de ses lieux où les orgasmes envahissaient les couloirs. Si ces relations semblaient convenir aux femmes de ce lieu, ce n’était pas mon cas et j’en avais payé le prix. L’homme auxquels je m’étais refusée m’avait battue comme on n’aurait jamais osé le faire sur un chien. Recroquevillée sur moi-même j’avais attendu que cela passe, mes pensées dérivant vers mon mari. J’encaissais les coups, en poussant des cris étouffés de souffrance qui semblaient comblés mon agresseur de bonheurs. Après plusieurs longues et interminables minutes, je m’évanouissais.
Lorsque j’avais repris mes esprits, j’étais nue. Mes jambes écartées, au-dessus des couvertures froissées, mais toujours pliées. Il m’avait violé, profitant de mon inconscience pour assouvir ses désirs pervers. Écœurée, je courais vers le lieu qui me servait de salle de bain et vomissait sans ménagement, des larmes ruisselants sur joues couvertes d’hématome. Croisant mon reflet dans le miroir, je grimaçais il m’avait défiguré, ma lèvre était fendue. Mes yeux entourés d’horrible orifice rougeâtre douloureux. Je savais qu’un autre homme allait finir par arriver. Il fallait que je parte maintenant, j’allais retrouver ma sœur et nous partirons ensemble. Qu’importe où nous irions, ça sera toujours mieux qu’ici. M’habillant sommairement, je sortais de ma chambre, me retenant pour ne pas prêter attention aux différents orgasmes, qui accompagnaient mon avancé douloureuse.
Après plusieurs minute et chambre ouverte qui m’avait offert plus de vision cauchemardesque sur le sexe qu’autre chose, j’avais fini par la trouver attachée à un lit. J’ignorais où été passé l’homme qui l’avait ainsi attaché, et à vrai dire j’en avais rien à faire. Il ne la toucherait pas, pas tant que je serais en vie.

« Juliette ! »

Une larme roulant sur ma joue gonflée, je sentais ma larme se posait sur ma blessure à la lèvre, courant vers le lit de ma sœur, je la libérais ignorant les questions que cette dernière me posait sur mon état. Une fois cette dernière libérait je la prenais dans mes bras ignorant si elle avait déjà subi les foudres des hommes sur elle.

« Rosaline, on doit s’en aller, je suis tellement désolée petite sœur je n’aurais jamais dû aller voir cette femme. J’aurais dû t’écouter et te faire entrer dans ma chambre. Je suis tellement désolé ma Rosa. »

Ensemble nous avons tenté de fuir, mais lorsque nous avions tenté d’ouvrir la porte, nous nous étions retrouvées projetées contre le mur. Automatiquement, les volets de notre prison se fermèrent en un claquement sinistre avant que la femme flippante qui nous avait accueillis ne descende les escaliers, ses talons claquant contre les marches de verre.

« Les sœurs Capulet … Décidément vous allez pas me rendre la vie facile ! Cessez de penser à fuir cette demeure, vous appartenez à ces murs et rien de ce que vous pourrez faire ne changera ca. Vous m’appartenez princesses ! Ici vous n’êtes plus rien. »

Les mois qui suivirent, je continuais à résister. Je prenais des coups, j’étais punie, enfermée. Affamée parfois, mais je tenais bon pour Rosaline. Je savais qu’elle était quelques part dans l’aile noire, dans une autre chambre pour ne plus que je la retrouve. Je la voyais parfois au loin, au détour d’un couloir. Je me maudissais pour avoir offert à ma sœur cette vie de catin, une vie à laquelle il était apparemment impossible de fuir. Pendant, chaque seconde je m’étais accroché à l’espoir que Roméo me retrouve, il devait être au courant de notre disparition. Il devait nous chercher. Il le fallait de mon côté je résistais, surtout pour la forme car au final les hommes qui voulait mon corps finissait par l’avoir de gré ou de force. Consentante, inconsciente, attachée il n’en avait qu’à faire tant qu’il pouvait faire ce pour quoi ils avaient payé.
A partir du sixième mois, j’avais perdu espoir. Le visage de mon mari disparaissait et j’avais découvert grâce à une autre fille du couloir des cygnes blanc un moyen d’échapper à toutes cette souffrance : l’alcool. J’ignore comment elle faisait pour s’en procurer. C’était sans doute un de ses habitués qui lui fournissait un peu de marchandise. Parfois elle partageait et elle m’offrait un moment pendant lequel je ne ressentais plus aucune souffrance, plus aucune culpabilité ni aucune honte.
Les mots de la maitresse de maison avaient fini par mettre cours à mes rebellions le onzième mois de mon arrivée. J’étais épuisée de prendre des coups pour rien. Fatiguée de rêver à une issue qui nous serait favorable. Je devais accepter l’inconcevable. J’étais une catin. J’étais l’esclave de la maison, et personne ne pourrait me sauver.










Encore une journée comme les autres, une journée où les hommes allaient se presser derrière les porte du bordel. Au rez-de-chaussée, les plus chanceuse allaient répartir les hommes pour les filles restaient dans leur chambre après avoir posé une série de question aux clients elles allaient les diriger vers l’aile est (les cygnes noirs) ou vers l’aile ouest (les cygnes blanc). Quant à nous les filles restaient dans leur chambre afin de servir de chair fraîche aux pervers venus les baiser dans le dos de leur femme, nous allions devoirs réaliser leur fantasmes les plus fous et les plus dégoûtant.
Vomissant comme à mon habitude dans mes sanitaires, consciente de ce que j’allais encore devoir faire pour ne pas avoir à subir de nouvelle blessure, je tentais de calmer mon esprit. Il fallait que je me déconnecte et tout irait pour le mieux. C’était l’histoire de quelques minutes, entre deux clients nous avions droit à une pause. Un temps de coupure destiné à nous permettre de faire à un brin de toilette et d’aborder de nouveau costume. Une des filles chargées des répartissions  frappant à ma porte, je me rinçais la bouche et partais ouvrir la porte.

« T'as de la chance le prochain est sexy, il veut un cygne blanc, à croire qu’il connait la maison, gâche pas tout j’aimerais bien l’avoir moi aussi ! »

Digne, j’haussais la tête en signe d’acceptation tandis que la trentenaire fermait la porte afin de me laisser me préparer. Des larmes inondant mes joues pendant que j’enfilais le fameux costume, j’inspirais avec difficulté. Je devais me ressaisir. L’histoire de quelques minutes, tout allait bien se passer, me répétais-je devant le miroir.
Un nouveau frappement annonçant l’arriver de l’homme auxquels j’allais devoir m’offrir, me parvenant, je déconnectais mon cerveau et me postais devant le lit en baldaquin, le visage fermée, en prononçant un « entrer » qui comme toujours m’arrachait le cœur.  « Juliette … » Cette voix, je la connaissais. Le regard perdu, j’osais regarder mon client du matin, qui se dirigeais vers moi au pas de course après avoir prit soin de bien fermé la porte. Je mis de longues secondes avant de reconnaître l’homme que j’avais en face de moi. Mon esprit ne voulait pas accepter que mon rêve soit enfin devenu réalité. La douceur fraîche des mains de l’homme que j’avais aimé plus que de raison qui s’emparait de mes mains, je perdais une larme que ce dernier s’empressait de faire disparaître avec patience. « Roméo … c’est impossible » Silencieux, se dernier se contenta de me prendre dans ses bras, me serrant plus que de raison si bien que j’entendais son cœur battre contre mon oreille. Incapable de bouger, je sentais mes larmes soulever ma poitrine, tandis que je commençais à accepter son contact, ce dernier rompait le silence pour essayer de me faire comprendre que je ne devenais pas folle. Mon coeur brisait se réparer sous chacun de ses caresses, jusqu'à ce qu'un soupir d'aise provenant de la chambre d'à côté ne vienne rompre le charme, me ramenant brutalement dans ma chambre de la maison close. La honte me tordant l'estomac je le repoussais et ce dernier s'exécutait, obéissant à chacun de mes actes non verbaux. Je regardais ses bras retomber le long de ses cuisses, ses poings se fermant sans qu'il ne s'en rende compte prouvant qu'il résistait à l’envie de me désobéir. Incapable de relever les yeux vers son si magnifique visage, je me laisser tomber à terre, mes jambes se repliant sous mon corps tandis que je lui expliquais d'une voix sourde, sans vie : « Tu ne peux pas. J’ai essayé de m’enfuir avec Rosaline c’est impossible. Nous sommes maudites, je suis tellement désolée. » Mon mari se rapprochant de moi, posant son index sous mon menton me forçant à le regarder tandis que de sa main libre il essuyait avec douceur mes larmes, avant d’ajouter avec douceur et détermination qu'il me sortirait de cet endroit qu'importe ce qu'il devrait faire pour y parvenir. Par la suite il m'expliqua son plan, avant de me demander de me préparer pour partir.

L'espoir avait fini par renaître en moi et j'avais accordé le bénéfice du doute à Roméo. je l'avais laisser voir mon corps mutilé bien que jamais il ne saura ce que j'avais subi dans cette maison. En adéquation avec ce qu'il m'avait promis, Benvilio et lui nous sortîmes de cette maudite maison.
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MessageSujet: Re: JULIETTE ROSE ELIZABETH WHITEQUEEN JULIETTE ROSE ELIZABETH WHITEQUEEN  EmptyJeu 14 Fév - 18:03

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Notre première nuit loin de cette maison de malheur dans laquelle Rosaline et moi avions été emprisonné, nous l’avions passé dans une auberge. Une nuit que j’avais redouté silencieusement toutes l’après-midi, ô j’étais heureuse de retrouver ma liberté, et d’être avec l’homme que j’avais choisi. Cependant, j’avais peur de me retrouver seule avec lui, il savait ce que j’avais fait dans ce bordel. Il l’avait vu. Il avait entendu les autres cygnes de la maison. Il savait et j’en avais honte. Contrairement à moi ma sœur n’avait guère eu le temps de se changer, elle portait donc la veste de Benvilio sur le dos et de mon côté celle de Roméo. Fallait avouer que de toute manière qu’importe le vêtement que nous portions, il était loin d’être adapté pour une vie normale.  
Lorsque nous étions arrivés à la dite auberge, la répartition des lits fut rapide : Rosaline et moi ensemble et les garçons ensemble dont un des deux qui mènerait la garde au cas où un membre de la maison de Cygnes ne soit à notre recherche. Une garde essentiellement destinée à nous rassurer. Patient et prévenant les garçons l’étaient, ils avaient beau avoir passé une année entière à nous chercher, ils ne cherchaient pas à réclamer la moindre récompense en échange.

C’est le lendemain matin que Rosaline me parla d’un rêve qu’elle avait fait. Désireuse de la laisser suivre les indices de son rêve, j’avais convaincu Benvilio et Roméo de la laisser nous guider.

Voilà comment Rosaline est parvenue à nous  menée au pays des merveilles inconsciemment guidé par le chat de Cheshire, puis par le lièvre de mars derrière lequel elle avait couru, un acte qui m’avait amusé. Je l’avais suivi contre le gré de monsieur Roméo et de son frère de cœur, qui nous avaient suivis en râlant.

Une attitude que les grincheux du jour furent contraints d’abandonner lorsque nous arrivâmes à Wonderland. Rosaline avait eu raison. Rapidement nous fûmes pris d’assaut par un lapin, un acolyte avec un chapeau démentiel, toutes les valeurs que nous avions apprises étaient remises en question dans ce monde. Les animaux parlaient, les chats flottaient  dans les airs, et je ne parle même pas des lapins qui lisaient l’heure. La folie enivrait les environs, mais au moins ici nous pouvions être qui nous voulions. Désireux de laisser la haine de Vérone derrière nous, nous avons changé d’identité, ce nouveau pays nous offrait le nouveau départ dont Roméo m’avait parlé la veille : Elizabeth fut le premier prénom qui me vint, il se rapprochait légèrement de Juliette en ce qui concerne la sonorité.

Ce fut ses drôles d’animaux qui nous menèrent vers le royaume blanc, un lieu tenu par cinq mages qui attendaient notre arrivée depuis bien longtemps. Nous fûmes accueillis comme des rois, et ces derniers ne tardèrent pas de nous parler d’une prophétie. Cette dernière était destinée à sauver un peuple de la tyrannie de la reine de cœur. Le rôle de sauveuse était réservé à la plus jeune, la plus âgée, moi, était censé avoir des pouvoirs magique. D’après la dite prophétie je devais être en capacité de contrôler les éléments météorologique. Ce fut ce détail là qui m’empêcha de croire en ce destin. Si j’avais des dons, il y avait bien longtemps que je l’aurais su.

C’est un mois après notre arrivée, alors que nous reprenions gout à la vie, que le miracle survint, pendant une de mes promenades solitaire où je réfléchissais à un moyen de sauver ou de soulager la souffrance d’un des mages du royaume. Je m’étais rapidement attachée à cet homme, il était d’une douceur et d’une sagesse comme il en existait peu. Malheureusement, le temps lui était compté, je le savais. Mais revenons en à cette promenade de fin de journée, j’avais exploré une nouvelle partie du royaume où nous vivions. Je m’étais retrouvée en face d’une magnifique cascade, c’était la première fois que j’en voyais aussi majestueuse, c’était bien l’une des grandes particularités de ce pays. Tout devenait merveilleux.

Alors que je m’approchais fascinée par cet endroit, impatiente de le montrer à Rosaline et d’y passer quelques temps avec mon mari, un enfant sorti de nulle part tomba à l’eau avant d’hurler à l’aide et couler à pique. Sans réfléchir davantage, j’avais sauté à l’eau, nageant vers le fond où le petit garçon paniqué disparaissait. J’avais mit quelques secondes à l’atteindre, mais j’étais incapable de le faire remonter à la surface. Incapable d’abandonner cet enfant, j’avais nagé plus profond pour le libérer des algues dans lequel il s’était prit les pieds. En manque d’oxygène, je sentais mon esprit se broyer. Après moulte essai, j’avais brisé les liens qui retenaient le jeune garçon et je l’avais remonté à la surface avant de perdre connaissance.

Lorsque je repris mes esprits, le petit garçon avait laissé place au mage malade, un sourire fier illuminant son visage fatigué. « Où es l’enfant ? » « Devant vous Elizabeth, je vous pris de m’excuser mais cet enfant n’a jamais exister, c’était le fruit d’un sortilège. Nous devions être sûrs que votre cœur était pur et nous voulions vous voir à l’œuvre seul sans votre mari, votre sœur ou votre ami. Ma belle Elizabeth, vous êtes la femme de la prophétie, je sais que vous ne croyez pas en cette dernière, mais le jour viendra où ce sera le cas. » Le vieillard faisant apparaître une bague en or qui était surplombée d’une pierre blanche qui brillait de milles feu. La pierre me rappelait celle que ce dernier portait autour de son cou. Interdite je l’écoutais me parler de la bague. Je l’avais même laissé me l’enfiler, non pas sans rire, amusée par le côté romantique de la scène. J’osais à peine penser à la tête que Roméo aurait fait s’il avait assisté à cette scène. Ensemble, nous avons beaucoup parlé et rigolé, j’avais même nourri l’espoir que le mage se rétablisse. Mais il en fut autrement, le lendemain, mon ami était mort et je me retrouvais pourvu de pouvoir dont j’ignorais tout. Je fus prise en charge par les autres mages qui tentèrent de m’apprendre à me servir de ce don unique que contenait le possesseur de la bague.








C’est sur ses terres bercées par une douce folie, que nous avions eu droit à une seconde chance. Une chance qui nous comblait de bonheur. Alice et Benvillio avaient fini par se rapprocher pour vivre une idylle cachée, enfin ils pensaient se cacher mais ils ne bernaient personne encore moins Roméo et moi. Ensemble nous vivions un bonheur sans nom que même la prophétie qui planait au dessus de la tête d’Alice ne parvenait pas à noircir. Ô j’ai bien eu des hauts et des bas, des fluctuations qui avaient généralement été destructrice pour le royaume et le peuple. Les pouvoirs de la bague et l’apprentissage de la magie meubler la plupart de mes journées, lorsque je n’étais pas avec les mages, j’étais avec mon mari.

Les années passèrent et je ne finissais pas désirer un enfant, une révélation qui avait rendu Roméo euphorique, malheureusement, j’avais tellement passé de temps à prier les dieux de ne pas tomber enceinte par un des clients de la maison des cygnes que je n’arrivais pas à réaliser notre rêve. Bien qu’Alfred, le mage de l’esprit me jurait que je finirais par être mère mais que je devais cesser d’en faire une obsession.

Ce n’est qu’au cours de la sixième année de règne sur le royaume blanc que le miracle arriva, j’étais enceinte, et selon les prédictions d’Alfred le bébé serait un petit garçon qui aurait les yeux de son père et le visage de sa mère. Un prince valeureux qui nous comblera de bonheur et qui contrôlera la terre. Une révélation qui m’avait fait pleurer de joie bien que l’idée de donner le fardeau d’une bague magique à mon fils ne me plaisait pas du tout et Roméo était de mon avis. Les mois passèrent et mon ventre commençait à s’arrondir à l’instar de mes angoisses et de mes nausées qui avait causé un dérèglement certain de ma bague, ainsi et pour mon plus grand malheur mes sujets pouvaient vivre en direct tous les aléas de ma grossesse grâce à la météo. Cette année là nota également la fin de l’amour caché entre Alice et Benvillio qui avaient fini par cesser leur cachoterie le jour où j’ai annoncé ma grossesse.  L’avenir qui se dessinait devant nous était heureux et paisible, ont en avait même oublié la prophétie qui planait au dessus de la tête d’Alice. Seulement Cora n’avait pas oublié elle, elle envoya sa bête sauvage sur mon territoire avec une mission : tuer Alice.

Le jour où Rosaline est morte : elle m’avait donné rendez-vous près de la cascade a plusieurs kilomètre du château, elle voulait m’annoncer quelques choses, et naturellement je l’avais rejointe accompagné par mon aigle qui me suivi partout. Avant que je ne puisse la trouver son cri m’est parvenu. Ce cri qui me suivra pour le restant de ma vie, en l’entendant j’avais couru l’appelant à en perdre haleine, c’est à ce moment là que je l’ai vu. J’ai vu ce loup au dessus de son corps. J’ai vu son sang et sa tête se détacher de son corps. Les yeux remplis de larmes, j’avais poussé un cri d’effroi avant de frapper la louve par la foudre, ou du moins j’avais tenté de la frapper mais je l’avais raté et je n’étais parvenue qu’à la faire fuir. Ma fureur déclencha un orage qui secoua tous mon royaume pendant que j’essayais de relier les deux morceaux de corps de ma sœur. Puis tous s’enchaina rapidement, la douleur dans mon bas ventre, puis tous se sang qui se mélangeait à celui de Rosaline.

J’avais perdu mon bébé, j’avais perdu ma sœur. Les ténèbres envahissaient mon esprit et il n’y avait plus qu’une seule pensée qui me hantait : me venger. Dès que ma décision fut prise la pluie cessa de s’abattre sur le royaume tandis que j’appelais mon aigle en un sifflement sordide. Comme à son habitude Dawn m’obéissait et se posa à côté de moi, caressant son pelage je recommençais à pleurer avant de sortir une potion de ma besace. Celle qui permettait à toutes choses qui entait en son contact de grandir. Faisant boire la dite potion à mon aigle je continuais de le caressait pendant que mes larmes s’écoulaient sur mes joues : « On les vengera ! Retrouve la louve qui a fait ca ! » Sur ses mots et ensanglanté je grimpais sur le dos de mon rapace et partais dans ma quête vengeresse sans prévenir personne.
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MessageSujet: Re: JULIETTE ROSE ELIZABETH WHITEQUEEN JULIETTE ROSE ELIZABETH WHITEQUEEN  EmptyJeu 14 Fév - 18:04

I am Juliette White-Queen
L' AMOUR EST UNE FUMÉE FORMÉE DES VAPEURS DE SOUPIRS : PURIFIÉ, C' EST UN FEU DANS LES YEUX DES AMANTS, AGITÉ, UNE MER NOURRIE DES LARMES DES AMANTS ET QUOI ENCORE ? LA FOLIE LA PLUS SAGE LE FIEL QUI NOUS ÉTOUFFE, LA DOUCEUR QUI NOUS SAUVE.



Il me fallu un peu plus d’une journée pour traverser les terres du centre, volant au dessus du royaume des Sept Mers, royaume où les sirènes vivent gouvernées par un certain Triton, Le pays imaginaire de Peter Pan. Dans les airs j’avais réussi à adoucir la douleur de mon cœur, et mes pleurs avaient cessé, ainsi que la pluie qui avait lavé mes mains du sang de ma sœur et du mien. J’ai retrouvé le monstre qui avait détruit ma vie à la frontière du territoire de la forêt enchantée, j’ignore comment elle avait fait pour parcourir tous se chemins, elle avait sans doute été aidé par Cora mais qu’importe en l’apercevant mon aigle tomba a pique et je sautais de son dos créant des tornades autour de la louve qui fut projetée contre un arbre. Son gémissement de douleur provoquant un fou rire rageur tandis que les larmes qui avaient cessé de s’écouler le long de mes joues recommencer leur ballet infernal, alors que je faisais passer la foudre par mon corps pour venir décapiter la louve comme elle l’avait fait avec Alice, je fus stoppée par une brunette qui avait fait rempares de son corps entre moi et le monstre. « Éloignez-vous ! » La demoiselle, une prénommée Belle refusa et m’expliqua que cette bête n’était pas consciente de ses actes, une grimace déformant mon visage je la sommais de s’en aller, mais elle me demanda de lui laisser le bénéfice du doute. Elle ignorait les traces de sang sur ma robe, me parlait comme si j’étais un animal sauvage, elle louchait également vers Dawn sui derrière moi attendait fièrement un signal de ma part pour me protéger. Je voyais dans son regard qu’elle n’abandonnerait pas avant d’avoir eu gain de cause, alors oui je l’ai laissé faire. Je l’ai laissé se pencher vers le loup blessé et elle lui retira un bracelet métallique à la patte et soudainement la bête se transforma en humaine frêle, et tremblante de froid. Dent serré, j’avais reculé contre le pelage de mon rapace saisissant ses plumes, mordant ma lèvre inférieure tandis que je regardais la blonde, la meurtrière de ma sœur et de mon fils avant de lâcher d’une voix sourde : « Va-t-en pars loin et ne croise plus jamais mon regard elle ne sera toujours pas là pour te sauver ! » Sur ses mots la louve s’en alla disparaissant à toutes jambes tandis que je me laissais tomber au sol le bec de mon aigle se posant sur ma joue. Automatiquement, je sortais la fiole qui lui permettrait de retrouver sa taille normal et lui fit boire.

La dite Belle s’occupa de moi me menant dans son camps avec ses compagnons de routes, des hors la loi. C’est dans cet endroit où je pus me changer, lui piquant ses vêtements avant de tout lui raconter, mon aigle me suivant toujours de lui bien que régulièrement il gisait fièrement sur mon bras défiant toutes personnes de me faire du mal. Je devais rentrer chez moi. Je devais rentrer et annoncer à Roméo que j’avais perdu notre petit trésor, même s’il devait déjà le savoir. Alfred avait dû le voir et il avait dû lui dire, mais je n’avais pas la force d’affronter la douleur dans son regard. Je ne pouvais pas. Je n’eus jamais le temps d’affronter la situation avec Roméo. Le lendemain de mon arrivé une brume noire nous ensevelis, et emporta avec elle une partie des habitants des terres de notre monde.






Après la malédiction, et lorsque j’ai compris qu’une partie des habitants de notre monde avait disparu j’avais redonné une potion grandissante à Dawn et ensemble nous avions volé vers notre royaume. Comme pour l’allée il nous avait fallu plus d’une journée, une journée interminable pendant laquelle le poids de la culpabilité m’avait tordu l’estomac. Une fois pieds à terre j’avais donné un biscuit pour redonner sa taille normal à mon aigle et j’avais couru jusque dans mon château appelant Roméo, le suppliant de me répondre avant que le personnel du château me retrouve. En voyant le regard de ses derniers je comprenais qu’il n’était pas entre ses murs, et mon cœur se brisa pour la seconde fois en moins d’une semaine. Le souffle coupé, je tombais dans les pommes.

A mon réveil les mages m’entouraient, Alfred était assis à ma gauche, Godric était aux pieds de mon lit endormie sur un tabouret sa tête soutenu par ses bras qui étaient accoudés au cadre de mon lit. Perceva et Peter quand à eux étaient sur le canapé endormi, mais un air soucieux tiré leur trait déjà fatigué par le temps passés. Je tentais en vain de me redresser sans les réveillés en vain, Alfred avait ouvert ses grand yeux gris à la minute même où j’avais levé le petit doigt. Comme un père envers sa fille il caressa mes cheveux en me murmurant qu’il était navré pour la mort de ma sœur et mon bébé. J’avais déjà bien trop pleuré, j’en étais plus capable mais la brûlure était toujours présente. Rapidement les trios autres mages se réveillèrent et se rapprochèrent de moi. Puis Alfred m’expliqua que Roméo avait couru à ma recherche avec la majeure partie de notre armée lorsqu’il avait eu vent de mes intentions vengeresses et que lui comme le reste de notre armée n’était pas revenu et qu’ils avaient été pris par le sors noir.

Depuis ce jour je n’avais eu de cesse de chercher un moyen de me rendre dans cet endroit où la malédiction de la méchante reine avait créé. C’était ce qui me faisait tenir. Les années passèrent et nous restions les mêmes, la vieillesse n’avait plus d’effet sur nous et égoïstement j’en étais heureuse, je n’aurais supporté de perdre un seul des mages qui m’avaient toujours soutenu et conseillé depuis mon arrivée dans le pays des merveilles. Il y a moins d’un mois, Alfred est venu me trouver pour me mettre en garde m’apprenant qu’un sombre présage allait s’abattre sur les terres entourant les nôtres. Il m’annonçait un désert de glace et l’arrivée d’une ancienne reine au pouvoir une dénommée Ingrid. Dès que j’eus vent de cette prédiction je ne pus rester dans mon royaume, je voulais prévenir Belle et ses amis, je voulais les mener jusqu’à mon royaume. Ils m’avaient aidé à une période de ma vie, je leur étais redevable.
Une fois de plus je chevauchais mon précieux rapace, mais lorsque j’arrivais c’était trop tard. Les terres étaient gelées. J’eus beaucoup de mal à retrouver les hors la loi qui m’avaient aidé mais je ne finissais pas y parvenir, ils étaient dans le château du ténébreux et n’était pas désireux de venir avec moi vers Wonderland. Comme par le passé je suis restée avec eux et le Chapelier nous a trouvé nous proposant de nous accompagner vers la ville des maudits. Désireuse de retrouver mon maris j’ai accepté, j’ai écris une lettre aux mages leur demandant de prendre soin d’eux et de notre royaume en leur promettant que je reviendrais avec le roi et j’ai demandé à Dawn de leur emmener.  


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MessageSujet: Re: JULIETTE ROSE ELIZABETH WHITEQUEEN JULIETTE ROSE ELIZABETH WHITEQUEEN  EmptyJeu 14 Fév - 18:05

Juliette White-Queen


❝ La vie est une succession de musique qui mène toute vers la même issue ❞


Juliette Capulet

année 0
16 mai ♅ naissance

année des 3 ans
21 juin ♅ naissance Rosaline

année des 8 ans
29 septembre ♅ 1ère rencontre avec Roméo

année des 18 ans
13 février ♅  Fiançailles forcé avec Pâris
25 mars ♅ Bal masqué et retrouvaille avec Roméo
31 mars ♅ Mariage avec Roméo
2 avril ♅  Morts de Tybalt et Mercutio.
3 avril ♅ Rencontre de la "sorcière" et arrivée aux Cygnes.

année de ses 20 ans
1er juillet ♅ Evasion réussi des Cygnes avec Roméo et Benvolio et début du voyage.
La Reine Blanche

année des 20 ans
13 juillet ♅ Arrivé à Wonderland
15 juillet ♅ Son couronnement
13 aout ♅ Apparition de mes pouvoirs

année des 29 ans
10 avril ♅ Sa grossesse est officialisée
30 juin ♅ Mort d'Alice et perte de son bébé
05 juillet ♅ Le sort noir frappe le monde des contes



La prophétie de Wonderland
Au cours d’une douce journée d’été, deux âmes à l’innocence brisé, accompagnées par deux hommes prêts à tout pour les sauver arriveront sur les terres de Wonderland. Ce jour marquera à jamais une ère de renouveau pour le pays. Corona, le royaume blanc de Wonderland trouvera sa reine et son roi, deux têtes couronnées, venant d’un royaume. Une fois couronnée, leur pouvoir se révèlera et ils deviendront le roi de la terre et la reine du ciel. Ils renverseront la tyrannie de la reine de cœur et la douce fleur deviendra reine à son tour. Le royaume rouge sera à nouveau en paix et la vie reprendra un long cours tranquille.
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MessageSujet: Re: JULIETTE ROSE ELIZABETH WHITEQUEEN JULIETTE ROSE ELIZABETH WHITEQUEEN  EmptyJeu 14 Fév - 18:05

Les secrets d’une naissance avec des pouvoirs divins
« La justice, cette forme endimanchée de la vengeance » tels sont les mots de Stephen Hecquet et ils n’ont jamais été aussi verdict que le jour où Thémis décida de se venger de son ex-mari. Elle qui avait tant accepté. Elle qui avait tout fait pour tenir son rôle comme Zeus l’entendait. Pourtant il l’avait trahi. Enfermé dans sa jalousie et ses désirs de possession Zeus enchaina le fils Thémis : Prométhée. Il avait attendu le bon moment, comme toujours, seulement cet acte lui valut de perdre la confiance de sa seconde femme, un acte qu’il regrettera sans doute pour le reste de sa vie …

Zeus était incontrôlable. Voilà bien des siècles que Thémis s’en était aperçue, mais elle lui avait trouvé des excuses à chaque débordement. La tendresse que la déesse éprouvait pour le dieu des dieux l’avait fourvoyé. Régulièrement, elle se tenait aux cotés de Zeus pour le conseillé en s’appuyant sur ses visions et l’écoutait la plupart du temps. Certes partiellement, mais au moins sa parole avait de la valeur jusqu’au jour où Zeus l’a trahi. En ce début d’hiver, le réveil de Thémis avait été violent. L’angoisse d’une vision de son fils enchainé nu à une colonne dans les montagnes du Caucase avec un vautour qui lui dévorait les entrailles sans relâche. Malgré sa combativité Thémis ne put rien faire pour sauver son fils, Zeus l’avait enfermée dans ses quartiers avec divers Titans. Dès qu’elle put sortir elle se précipita dans la salle du trône où Zeus festoyait joyeusement et arrêta cette supercherie pour demander une audience avec son mari. Durant des jours, elle tenta de libérer Prométhée de cette punition, mais Zeus ne voulut rien entendre. Lassé par les complaintes de sa seconde épouse, il la menaça de durcir la sentence de son fils en lui faisant manger les yeux par un corbeau.  

Il n’y avait plus rien à faire pour sauver Zeus de sa folie. Thémis le savait, même elle ne pouvait pas ramener son mari à la raison. Il se fourvoyait lui-même et causerait sa propre perte, seulement cette fois Thémis ne l’aiderait plus à éviter l’inévitable.

La titanide se retira dans sa chambre et décida de ne plus faire partager ses visions avec Zeus. Dans sa colère, elle chercha à donner la leçon de sa vie à son mari. S’il ne voulait l’écouter alors il comprendra d’une autre manière. Zeus comptait sur ses pouvoirs, il les aimait et pensait que sa puissance ne puisse être égaler car il connaissait tous les dieux. Après des mois à scruter ses visions elle trouva la solution chez Julia Capulet et Enzo Capulet. Ce couple d’humain allait donner naissance à une reine qui était destinée à faire tomber les royaumes à ses pieds. Pendant ses semaines Thémis se concentra sur cet enfant qui grandissait, toutes ses visions concordaient en un sens : cet enfant serait fort et noble. C’était l’enfant parfait jamais Zeus ne se méfierait d’une femme humaine. La cible étant déterminée, Thémis attendit par la suite que Zeus n’accepter un duel, et une fois le duel terminée et le sang coulé, elle récolta le sang des dieux des dieux avant de descendre sur les terres humaines. Thémis déversa le sang du dieu dans le vin servi pour Julia Capulet et aidé par diverses dieux et mages le sang de Zeus se concentra sur le nouveau-né.

Ce n’est qu’une fois que Zeus eu accepté de libérer Prométhée que Thémis tenta de museler les pouvoirs de Juliette. C’était quelques mois après sa naissance et elle y parvint jusqu’au jour où elle entra à Wonderland.

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MessageSujet: Re: JULIETTE ROSE ELIZABETH WHITEQUEEN JULIETTE ROSE ELIZABETH WHITEQUEEN  EmptyJeu 14 Fév - 18:06

Jeux d'enfants
Tybalt et Juliette ont 10 ans. Tybalt avoue ses sentiments à sa cousine pour la première fois et dernière fois tandis qu'ils échappaient aux institutrices de Juliette.
Visage : Mackenzie Foy

« Un jour je serais ton mari et on règnera sur Vérone »

Nous nous arrêtâmes derrière la statue de la fontaine et je fronçais les sourcils en le regardant. J’étais complètement essoufflée. Riant doucement, je murmurais pour éviter que les nourrices ne nous retrouvent.

« Tais-toi tu vas nous faire prendre »

Face à mon ignorance Tybalt fit claquer rageusement son pied contre le sol et je le maintenais au silence en lui faisant signe de se taire en posant mon index sur mes lèvres. En guise de réponse ce dernier siffla mon nom entre ses dents.

« S’il te plait, elles arrivent ! »

Vexé, Tybalt secoua la tête avant de sortir de sa cachette en me lançant un regard de défit :

« Débrouille-toi toute seule pour leur échapper Juliette. »

Il se dévoila aux institutrices avant de cirer mon nom en me pointant du doigt. Face à sa trahison je le fusillais du regard et lançais ivre de rage :

« Je te hais »

Mes institutrices coururent vers moi, et je poussais la plus frêle dans la fontaine avant de courir vers les écuries. Sur mon chemin, je songeais un plan d’action et me décidais à libérer les chevaux avant de leur demander sans la moindre hésitation :

« Bloquez-les »

Sous mes mots, ils se ruèrent vers mes tortionnaires tandis que je courrais jusqu’à l’entrée des servantes pour y prendre ma cape et m’enfuir dans les rues de Vérone. Après plusieurs minutes d’une course effrénée, je m’arrêtais complètement hilare suivie par le chien du château. Le caressant, je reprenais mon souffle tandis que Tyblat marchait vers moi en retirant son capuchon :

« Je n’y croyais pas »

Le fusillant une fois de plus du regard, j’entendais le chien lui grogner dessus avant d’ajouter :

« Tu m’as lâché et après tu oses dire que tu deviendras mon mari. Jamais je n’épouserais un homme qui le laisse entres les mains des ennemis »

Le chien aboya en lui grognant dessus et je rajustais la capuche pour m’éloigner de lui et me promener dans la ville tandis que Tybalt hurler :

« T’es vraiment chiante Juliette ! »

Levant les yeux aux ciels je poursuivais ma route. Il allait me payer sa trahison ça c’était certaine personne n’avait le droit de se jouer de moi, pas même lui. Sur mon chemin j’achetais une rose en tissu rembourrée pour l’offrir à Rosaline et alla m’amuser toute sorte d’animaux sous la protection du chien royal.

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MessageSujet: Re: JULIETTE ROSE ELIZABETH WHITEQUEEN JULIETTE ROSE ELIZABETH WHITEQUEEN  EmptyJeu 14 Fév - 18:06

Mort de Rosaline & Perte de Jules - Naissance de Raiponce

Point de vue de Juliette

Roméo était parti au combat alors que je dormais encore. J’avais à peine saisi la pression de ses lèvres sur mon front, son doux murmure quand il était parti était encore semblable à un songe étrange. En me levant, je n’avais pas bien saisi la situation. Je le pensais en entrainement avec ses hommes. Ce n’est qu’en descendant dans la salle à manger, mes mains posées sur mon ventre qui me donnait l’impression que dans quelques jours j’allais exploser, que je comprenais qu’il était parti dans une vraie guerre. Une vraie guerre alors que je pouvais accoucher dans quelques jours. Sur le coup, j’étais littéralement furieuse. Il avait osé me faire ça et sans prendre la peine de me le dire en face. Sentant le ciel gronder à cette pensée je sentais le bébé me donner un coup dans le foie comme pour me punir d’avoir une vilaine pensée pour son père et je gémissais en prenant appui contre une des chaises en inspirant et expirant profondément. Les premiers serviteurs qui passèrent par-là ne tardèrent pas à accourir pour me demander de m’asseoir et faire venir les mages. Lorsque ses derniers arrivèrent je les fusillais du regard :

« Pourquoi l’avez-vous laissé partir ? »

Lâchais-je acide, tout en me tenant le ventre tandis que ses derniers bredouillaient quelques paroles inaudibles, espérant certainement qu’Alfred allaient venir à leur rescousse, mais avant qu’ils ne puissent émettre la moindre excuse je jurais :

« S’il revient amoché je vous jure que je vous tuerais ! Une guerre sérieusement ? Vous étiez censés prévenir de ce genre d’attaque ! Alfred tu étais censé voir si le royaume allait être attaqué ! »

Alfred baissa la tête, acculé par mes reproches mais n’ajoutait rien. Il savait que quoi qu’il dirait je l’accablerais encore plus fort. Mes nerfs étaient à rude épreuve. J’allais accoucher et cette perspective me faisait peur. Tant de femme mourrait en couche, je ne voulais pas faire partie de la liste, mais pire que tout, je ne voulais pas accoucher sans mon mari. Une des servantes du château revint sur la pointe des pieds pour me servir une tasse de thé que je savais infusée avec la fleur de raiponce. Je reconnaissais cette odeur entre milles. La remerciant avec un faible sourire, j’inspirais profondément et Perceval se détacha de la lignée formée par ses congénères pour s’avancer vers moi. Ce dernier me tendait une enveloppe cachetée avec les initiales de ma sœur.

Perceval : « La princesse votre sœur, m’a confié la tâche de vous remettre cette lettre »

Lui prenant l’enveloppe qu’il me tendait je brisais le seau en le remerciant avec de déplier le papier sous le regard intrigué des mages. Alice voulait que je la rejoigne à la cascade. Elle disait qu’elle m’avait préparé une surprise et cette attention me fit sourire :

Alfred : « Mademoiselle Alice va bien ? »

Le fusillant du regard pour avoir osé parler sans permission je refermais la mettre et la tenais fermement en répondant d’un ton froid :

« Oui elle veut simplement que je la rejoigne »

Alfred : « Dans votre état ? Ce n’est pas raisonnable, ou est-elle ? Je vais envoyer quelqu’un la chercher ! »

« Il me semble que je ne vous ai pas demandé votre avis Alfred ! Je suis assez grande pour savoir ce que je peux ou ne peux pas faire ! »

Godric : « Majesté, loin de moi l’envie de vous dire quoi faire, mais le roi ne serait pas d’accord pour cette sortie »

Me retournant vers le mage qui possédait le même don que mon mari, je le fusillais du regard ce qui eut pour effet de le faire baisser la tête :

« Et grâce à votre incompétence, il n’est pas là pour me donner son avis sur la question. En son absence, je vous saurais gré de rester à votre place et de prendre la parole quand je vous donne le droit ! Maintenant disposez et essayez donc de vous rendre utile pour une fois ! »

Ma cruauté était sans fin. Je savais que chacun de mes mots les blessées un peu plus, mais j’étais furieuse et je ne comptais pas le moins du monde m’excuser de me montrer aussi peu avenante et conciliante. J’avais les hormones en vrac. Je pesais deux fois mon poids naturel. Je ne voyais plus mes pieds depuis des mois et mon mari était parti se battre pour préserver la paix dans notre royaume. Les mages disposèrent la tête baisser sans oser ajouter quoi que ce soit, et je buvais un peu de mon thé en tentant de résister à l’envie de chevaucher mon aigle à la rechercher de l’armée de mon mari. Il arriverait à temps j’en étais certaine d’ici là j’allais devoir m’occuper l’esprit.

« Tu restes bien au chaud toi, jusqu’à ce que ton idiot de père revienne. Tu me laisses le temps de le gifler et tu peux faire ta sortie »

Sentant un nouveau cou dans le foie, je toussais un peu plus en riant tout en m’accrochant au dossier de la chaise en inspirant et exprimant avec application :

« Ok je retire ce que j’ai dit ton père n’est pas un idiot, et je ne le giflerais pas, mais reste tranquille s’il te plait on doit aller voir ta tante. »

Caressant mon ventre avec une espèce de vénération dans le sourire, je finissais mon thé tandis que mes servantes venaient m’apporter de quoi me sustenter pour le petit déjeuner en marchant littéralement sur des œufs. Mon recadrage des mages vis à vis de leur fonction semblait avoir ébranlé le reste du personnel qui avait également peur de prendre pour leur grade.

Une heure plus tard je me mettais en route après avoir gracieusement ordonné à ma garde personnelle de rester au château au cas où Romain ait besoin de renfort. J’avais Dawn avec moi et c’était largement suffisant en mon sens, qu’est-ce que je pouvais bien risquer ?  Si j’avais su j’aurais fait les choses autrement.

Alors que j’étais quasiment arrivée à destination, un cri strident me parvint, son cri, sa voix. Mon cœur fit un bond dans ma poitrine avant que je ne prononce son nom en un murmure. Soutenant mon ventre proéminent des deux mains je me mettais à courir aussi vite que je le pouvais. Dawn était passé devant et son propre cri me parvint et en quelques secondes je l’avais rejointe. Un cri s’échappa de ma gorge lorsque je la vis sous un loup gigantesque qui s’en alla me laissant admirer avec horreur son œuvre. Ma sœur n’avait plus de tête. Un nouveau cri s’échappa de ma gorge tandis que mes yeux coulaient. Le ciel hurlait sa fureur au rythme de mes sanglots, ce n’est que lorsque je me laissais aller totalement à mon désespoir en hurlant un non brisé en serrant le corps et la tête démembré de ma sœur contre mon corps que la foudre ma frappa violement en irradiant tout autour de moi. Dawn évita les éclats de justesse et je restais là à pleurer jusqu’à ce qu’une nouvelle douleur ne me saisisse. Mes jambes furent mouillées d’un liquide chaud et mon ventre se tordait de douleur. C’était la première fois que j’avais aussi mal. Lâchant le corps de Rosaline, je soulevais mon jupon et voyais une chose que j’avais vu une seule fois de ma vie et c’était avec ma mère. J’avais perdu les os.

« Oh non je ne t’en prie pas ça, on avait un pacte »

Lâchais-je en hurlant de douleur avant que le ciel ne gronde à nouveau sous le coup de chaque contraction :

« Dawn va chercher Roméo, je t’en prie »

Mon aigle refusa en faisant claque son bec, je savais qu’il avait peur que le loup gigantisme revienne, mais de mon côté je n’en avais plus rien à faire. Les larmes roulaient sur mes joues et j’hurlais de douleur avec à ma gauche le corps de ma sœur et à la droite sa tête. Jamais je n’aurais pu rêver de pire endroit pour mettre au monde mon enfant. J’appelais mon mari complètement désespéré. Je poussais sans pouvoir m’en empêcher. J’avais mal à en crever, j’étais en nage, j’étais terrifiée. J’ignore combien de temps ça a duré. Combien de temps je suis resté à agoniser pour libérer l’enfant qui jusqu’à ce matin encore s’amuser à me donner des coups lorsque je parlais mal de son père.

Une fois mon supplice fini je pleurais encore plus en me penchant en avant pour trouver le corps du bébé trop silencieux. Il était mort. En comprenant cela mon cœur se brisa tandis que je serais et enfant que nous n’aurions jamais dans mes bras en me balançant de douleur. C’était un garçon.  

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Point de vue de la fée noire

Il me fallait ce bébé. Depuis que l’histoire de sa prophétie était parvenue à mes oreilles, je le voulais. L’enfant d’un amour pur et sincère et également l’enfant issu de l’union du ciel et de la terre. Cette gamine était une mine d’or, adulte elle contrôlerait les quatre éléments, si je devais l’avoir à mes côtés. Je le voulais et j’allais l’avoir en détruisant les défenses du couple royale de l’intérieur. Pour ce faire quoi de plus facile que d’utiliser l’animosité d’un des conseillers du couple royal ? Il ne m’avait pas fallu longtemps pour le détourner de son serment pour en faire un nouveau.

Mon petit espion avait été d’une aide précieuse. Depuis que la reine approchait du terme de sa grossesse, elle buvait une potion involontairement, une potion que Perceval (le fameux mage espion) mettait dans son thé matinal. Cette merveilleuse concoction, accélérait la pouce du bébé et donc allait me permettre d’atteindre rapidement mon but. En parallèle j’avais mené une petite armée pour distraire l’attention du roi et me permettre d’approcher la reine plus facilement. J’avais aussi pensée à mettre les pouvoir du mage voyant en stand-by histoire qu’il ne fasse pas tout foirer et ensuite je n’avais eu qu’à trouver un stratagème pour isoler la reine blanche. On aurait pu croire que ça aurait été la partie la plus compliqué de ma quête mais il n’en fut rien. Le caractère volcanique de la demoiselle avait fait le plus gros du travail. En apprenant le départ de son bien aimé, son sang n’avait fait qu’un tour et elle avait répandus la fureur dans tous son royaume, la fausse lettre que j’avais forcé sa cadette à écrire avait été un bon moyen pour la souveraine de quitter les murs de son palais en quête d’un peu de légèreté. Il n’avait suffi que d’une hypnose pour attirer la fameuse Alice et le tour était joué.

Tout aurait pu se passer dans le calme et la bonne humeur, mais la reine du royaume voisin avait trouvé opportun de faire tuer Alice le même jour. Quand la princesse du royaume blanc avait vu son corps séparé de sa tête, j’avais retenu un juron. Voilà un truc que je n’avais pas prévu. Malgré ce léger contretemps, je menais mon plan à bien et finalement cet assassinat imprévu avait été une aubaine pour moi, car je n’avais pas eu besoin d’avoir recours à la magie pour provoquer l’accouchement de la reine, le choc de voir sa cadette ainsi démembrée avait fait tout le travail pour moi. Caché derrière la fontaine, je faisais bien attention que tout se passe comme prévu. Il était essentiel que le bébé vienne en vie.

Alerté par la tempête orageuse que la reine avait involontairement créée, Perceval me rejoignait rapidement avant de pousser un hurlement d’horreur face à la scène sanguinaire qui se présentait sous nos yeux pendant que Juliette Montaigu se tordait de douleur en suppliant son aigle d’aller chercher son mari.

Perceval : « Vous aviez promis de laisser Alice saine et sauve ! Elle n’avait rien à voir dans cette histoire ... »

Levant les yeux au ciel, je me retournais vers lui en ajoutant avec un air détaché :

« Je n’ai rien à voir avec sa mort, c’est la reine de cœur qui a envoyé son chien lui trancher la gorge. »

Voyant que le mage allait protester je le transformais en vers de terre et attendais que l’accouchement prenne enfin fin. Ce qui croyez-moi avait été un jour sans fin. Cependant après ses longues minutes d’attente le cri du nouveau-né se fit entendre et je retrouvais le sourire. Alors que la reine le tenait en riant dans ses bras je la paralysais d’un geste de main, lui prenais son enfant pour le remplacer par un bébé mort quelques heures plus tôt dans les bras. Dans un souci de perfectionnement je lui modifiais ses souvenirs ainsi que ceux de son piaf. Prenant la princesse dans mes bras, je la faisais taire en lui mettant un biberon dans la bouche et repartais comme j’étais venue en rendant son apparence au mage en même temps que je redonnais vis à Juliette et son aigle. Les rires furent remplacés par un cri déchirant et je voyais la culpabilité luire dans les pupilles du mage du feu. Mettant la princesse dans ses bras j’ajoutais en fixant mon sortilège sur la mémoire des deux protagonistes :

« Rappelez-vous que si vous parlez je vous tue ! Elle s’en remettra tout comme tout le royaume. Faites comme si rien ne s’était passé et notre contrat prendra fin dans la joie et la bonne humeur »
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MessageSujet: Re: JULIETTE ROSE ELIZABETH WHITEQUEEN JULIETTE ROSE ELIZABETH WHITEQUEEN  EmptyJeu 14 Fév - 18:06

Acte 1 de son coma

Face à son défunt cousin, Juliette va revivre les souvenirs qui ont soldé son avenir à Vérone.


« Ma fille je dois te parler »

Assise sur mon lit, mes cheveux volant au gré du vent qui s’engouffraient par les portes de mon balcon, je me retournais et écartais le voilage de mon lit qui m’empêchait de voir ma génitrice correctement :

« Vous insultez mon intelligence mère si vous pensez que je n’ai pas compris. Ce Pâris que vous avez invité à vivre dans notre demeure il est là pour que je l’accepte pour époux. Était-ce de cela que vous vouliez me parler ? »

Légèrement décontenancée par ma réponse, Lady Capulet laissa ses lèvres se mouvoir en un « Oh » silencieux. Cette dernière s’avança vers moi et je me levais. Je ne voulais pas qu’elle m’approche encore moins pour m’amadouer avec ses belles paroles.

« Juliette, tu as dix-sept ans. J’ai été marié à ton père à quatorze ans, tu ne peux m’en vouloir d’accepter le contrat de mariage que ton père a négocié pour toi. Tu es une femme, les choses sont ainsi faites et tu le sais. Ne prends point cela comme une obligation, mais plutôt comme une opportunité »

Fusillant ma mère du regard, je m’avançais vers elle, un acte qui eut pour effet de la faire sourire. Mais son sourire se fana rapidement lorsqu’elle entendit ma réponse :

« Très bien, et bien je refuse cette opportunité comme vous le dites si bien ma reine. »

Sur ses mots, je l’abandonnais dans mes propres quartiers tandis qu’elle s’égosillait à m’appeler pour m’ordonner de revenir. Elle pouvait toujours rêver pour que j’accepte son contrat de mariage. Sur le chemin de ma fuite, je croisais Tybalt qui était en train de s’enivrer. En me voyant ce dernier m’assassina du regard avant de pester d’une voix lourde et enivrée.

« Longue vie à Lady Wickham »

M’arrêtant face à lui je faisais tomber à terre son verre de vin, en répondant complètement hors de moi :

« Jamais je ne serais la femme de ce Pâris de malheur, cesse donc de boire mon cher cousin ça ne te réussis pas le moins du monde. »

« Qu… Quoi ? Tu ne veux pas obéir à ton père ? »

« Comment peux-tu croire une seule seconde que je vais obéir à mon père. Si je me marie ça ne sera pas à des fins politique. »

« Mais c’est le roi »

« Et moi je ne suis pas un vulgaire objet qu’on peut vendre au plus offrant ! »

Lâchais-je au bord de l’hystérie, des larmes me montant aux yeux. Je savais ce que je ne voulais pas faire, mais j’ignorais comment me sortir de cette impasse. Ma mère avait raison, j’étais l’ainée de la famille, l’héritière du royaume de mon père, je ne pouvais lui désobéir impunément.

« Que veux-tu que je fasse Juliette ? Dis-moi ce que tu veux et je le ferais, tu sais que je ferais tout pour toi »

Lâcha Tybalt soudainement très sérieux, malgré son regard brillant d’alcool qui laissait penser qu’il devait me voir en double, voir en triple à cet instant précis :

« Fais-moi gagner du temps auprès de mon père. Raisonne-le dis-y que je suis effrayée à l’idée de me marier et de partager ma couche avec un homme. Racontes-y ce que tu veux, mais j’ai besoin de temps pour trouver une alternative à ce mariage. Je t’en prie Tybalt ne m’abandonne pas. »

Mon regard gravé dans celui de mon cousin, je sentais une larme rouler sur ma joue. Ce dernier me pris automatiquement dans ses bras comme un frère le ferait avec sa sœur. Bien qu’il empestât le vin et le whisky, je me laissais réconforter par ses bras. S’il était de mon côté j’avais peut-être une chance même infime.

« Jamais cousine. Je te donnerais du temps. »  

Tout était sombre, je ne comprenais pas pourquoi je revivais ses souvenirs. Rien n’avait de sens. Était-ce cela la mort ? Un simple vide devant lequel on voyait sa vie se découper en morceau ? Je n’étais pas morte. Je ne pouvais pas mourir de manière aussi abjecte. Pourquoi est-ce que je ne me suis pas simplement réveiller ce matin ? Pourquoi Emma m’avait trahi ainsi ? Une larme roulait sur ma joue tandis que je me regardais, à cet âge-là j’ignorais que mon cousin allait mourir dans à peine un an.

Tybalt : « Un regret cousine ? »

Me retournant je voyais mon cousin en chair et en os me sourire avec son air taquin. Automatiquement je sentais une larme rouler sur ma joue tandis que je lui sautais au cou sans qu’il me rende mon étreinte aussi je le lâchais avant de faire quelques pas en arrière :

« Alors je suis morte c’est ça ? »

Tybalt : « Oh non pas encore du moins, regarde nous Juliette, alliés même dans l’adversité. Ose me dire que je t’ai déjà trahi ? »

« Non jamais »

Tybalt : « Alors pourquoi est-ce que tu m’as fait ça ? »

Face à sa question, je me retournais avant que tout devienne noir à nouveau. Dépourvue du moindre recours, je l’appelais de toutes mes forces en vain. Le silence était une nouvelle fois de mise. Et la lumière réapparaissait aussi j’allais vers elle. Une fois de plus je voyais ma mère dans ma chambre mais cette fois, nous n’étions pas vêtues comme précédemment. Elle avait vieilli et avait mis quelques cheveux blanc supplémentaire. Preuve que plusieurs mois étaient passés entre ses deux scènes de mon passé.

« Juliette, il est temps. Ton père ne veut plus retarder l’échéance. Je t’en prie met fin entre cette querelle entre lui et Tybalt. Raisonne ton cousin, reviens à la raison, accepte ce mariage, Enzo ne changera pas d’avis et tu le sais. »

Les yeux pleins de larmes, je regardais cette robe de mariée qu’on m’avait confectionné.

« Si vous concéder à cela mère vous me tuez en avez-vous conscience ? »

Demandais-je en me retournant vers elle. Dix mois étaient passés entre ses deux tentatives de fiançailles et rien n’avait changé. J’avais échoué.

« Juliette, mon enfant arrête donc de tout dramatiser, l’amour n’a pas besoin d’être source de tout. Tu es une femme passionnelle, je le sais mais crois moi, même si actuellement tu abhorres Pâris il s’est montré plus que patient avec toi. »

« Je ne veux pas épouser cet homme »

« Soit alors si tu ne le fais pas pour toi, fais-le pour Rosaline car tel a été la demande de Pâris Juliette, si tu te refuses à te fiancer avec lui ce soir alors il prendra Rosaline pour femme et ton père t’enverra au couvent. Je sais que c’est ce que tu réclames depuis un an corps et âme, mais sache que si tu fais cela tu condamnes ta petite sœur. »

« Rosaline est encore une enfant »

Tentais-je de défendre sur un ton paniqué. Elle ne pouvait être sérieuse, elle venait d’avoir treize ans.

« Rosaline a saigné pour la première fois il y a deux mois, le temps de l’enfance est révolu pour elle. Elle a l’âge pour se marier. »

« Non ! Je vais le faire si c’est le prix à payer pour qu’elle puisse profiter encore un peu de son innocence. »

Tybalt : « Qu’est-ce que tu n’aurais pas fait pour Rosaline ? Mais comment pouvais-tu penser que tout ceci aurait pu la sauver d’un mariage arrangé ? Parfois ta naïveté me désespère Juliette. Mais saches une chose le jour où tu as prononcé ses mots, tu m’as brisé le cœur pour la première fois. Et comme si cela ne suffisait pas tu vas recommencer à plusieurs reprises. »

Une fois de plus mon cousin disparaissait, cette fois je n’avais pas eu le temps de dire le moindre mot. Une nouvelle lumière m’apparaissait et je la suivais consciente que je n’avais pas d’autre solution. Cette fois je n’avais pas mis longtemps avant de repositionner le souvenir que je vivais. Un léger sourire étira mes lèvres tandis que je regardais la version de Roméo et moi le soir de notre mariage. Nous étions si jeunes. Nous n’avions peur de rien ni de personne, être marié nous avait donné des ailes si bien que je nous enviais presque en nous voyant en train de longer les murs du château des Capulet jusqu’à mes quartiers. Comment avions nous fait pour ne pas nous faire prendre ? Nos gloussements étaient aussi discrets que si nous avions fait entrer un éléphant dans le château et encore même cet animal aurait été plus discret notais-je amusée. Avec un air nostalgique sur le visage, je nous voyais consommer notre mariage pour la première fois, avec une hésitation, une douceur et précaution. Nous avions bien changé et d’ailleurs, je me rendais compte qu’aujourd’hui à quel point Roméo m’avait ménagé pour notre première fois, dans la seule inquiétude de ne pas me blesser.  

« Est-ce un rêve Roméo ? Dis-moi que ce n’est pas le cas je t’en supplie »

Ce dernier m’embrassa sur le front en me serrant dans ses bras tout en souriant.

« Non tu es bien devenue Juliette Montaigu ce soir. Je t’aime »

Face à ses souvenirs, je sentais une larme rouler sur ma joue. Il fallait que je me réveille. Emma avait dit que je n’étais pas morte. Je devais le retrouver

Tybalt : « Quoi déjà ? Tu pleures déjà et tu veux déjà nous quitter mais on n’en a pas fini. Tu dois comprendre. »

« Comprendre quoi ? » Lâchais-je exaspérée.

Tybalt : « Ne commences pas à t’énerver cousine »

Le fusillant du regard, j’essuyais mes larmes avant de croiser les bras sur ma poitrine avant de lâcher :

« Ok continue alors »

De toute manière avais-je le choix ? Une fois de plus l’obscurité m’étreignait et je tentais de répondre à la question de Tybalt à savoir pourquoi je lui avais fait ça. Une partie de moi connaissait déjà la réponse mais je le laissais faire afin d’en savoir davantage. Sans grande surprise, je me retrouvais dans les jardins de Vérone, courant alors que les murmures disaient que les Montaigue étaient entrés dans le palais. En voyant la mine déconfite de celle que j’étais par le passé. Naturellement je regardais dans la direction où la scène se déroulait. Roméo transperça le cœur de Tybalt avec sa lame, ma main se posa sur ma bouche tandis que mon cri passé libéra une larme.

« NOOOOONNN TYBALT »

Me jetant sur le corps sans vie mais encore chaud de mon cousin je posais mes mains sur la poitrine blessé de mon cousin, les joues baignées de larmes, mon corps secoué par les sanglots.

« Ne m’abandonne pas, t’avais promis Tybalt !!!! Pourquoi tu as fait ça ? »

Lâchais-je en fusillant mon mari depuis a peine six heures. J’étais couverte du sang de mon cousin. Roméo quant à lui tentait de s’approcher de moi, en lâchant son arme :

« Juliette, … Je t’en prie écoutes-moi »

Les bruits du palais encore ensommeillés commençait à s’éveiller, alors que Roméo tentait de me toucher, je me dégageais.

« Va-t-en ! »

« Ju… »

« VA-T’EN ! Je ne veux plus te voir »


Tout redevint noir et j’essuyais mes larmes tandis que Tybalt réapparaissait devant moi, baigné de sang.

« J’aurais donné ma vie pour toi et toi tu as piétiné la mienne ! »

« Pourquoi ? Pourquoi est-ce que tu as tué Mercutio ? Tu ne pouvais pas les laisser partir tout simplement ? »

Demandais-je en essuyant mes larmes, sur un ton partagé entre la colère et le désespoir :

« Pourquoi lui Juliette ? »

M’asseyant à terre je passais une main dans les cheveux :

« T’es sérieux Tybalt ? Après toutes ses années tu te poses encore cette question ? Il est fait pour moi, je l’aime »

« C’est à cause de sa famille que t’es devenu une cati… »

Me levant en un bond je le giflais.

« Je te l’interdis Tybalt ! Si c’est pour le fustiger tu peux partir je préfère encore être seule ! »

« Il m’a tué »

« Tu attendais que ça avoue ? Avoue le Tybalt ! Tu souriais quand tu étais dans mes bras en train de mourir, tu le voulais n’est-ce pas que ce soit lui ou un autre tu voulais mourir. Mais ça t’arrangeait bien que ce soit lui qui te tue n’est-ce pas ? »

J’hurlais, les yeux baignés de larmes. J’avais oublié ce sourire qu’il avait eu alors qu’il crachait du sang agonisant dans mes bras.

« Je voulais que tu souffres autant que ce que tu m’avais fait souffrir en l’épousant »

« Tu aurais préféré que je me mari avec Paris ? C’est ça ? »

« Tu ne comprends vraiment rien, bordel Juliette qu’est-ce qu’il aurait fallu que je fasse pour que tu le vois ? »

« Mais qu’est-ce que tu veux que je vois Tybalt ? Que je suis la responsable de ta mort ? Je l’ai su à la minute même où tu étais mort ! »

« Non que je t’aimais ! C’était moi que je voulais que tu choisisses »  

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MessageSujet: Re: JULIETTE ROSE ELIZABETH WHITEQUEEN JULIETTE ROSE ELIZABETH WHITEQUEEN  EmptyJeu 14 Fév - 18:07


Cher Roméo, mon amour,

Si tu lis cette lettre c’est que je n’ai pas survécu à mon accouchement. Ô mon amour, je t’en prie pardonne-moi, pardonne-moi de ne pas avoir survécue. Peut-être que cela signifiait que je ne pouvais avoir le droit d’être mère et d’avoir une famille avec toi, bien que cela était mon rêve, mais qu’importe j’accepte mon sort.

Avec cette lettre je tenais à ce que tu saches que jamais tu ne m’as fait regretter mon choix. T’épouser est la chose la plus folle que j’ai faite, mais ça a aussi été la plus belle. Chaque seconde, chaque minute, chaque heure, chaque jour passés à tes côtés a été un bonheur sans précédent. Un bonheur auquel la simple pensée aurait pu me faire rougir lors de mes premières années dans la ville de notre enfance. Tu m’as tant donné. Tu m’as toujours fait passer comme étant une priorité, ta priorité. En ta présence je n’avais jamais peur. Tu es l’homme le plus merveilleux et le plus fort que j’ai connu. C’est pour cela que je sais que tu arriveras à vivre sans moi.

Je voulais également te demander une chose, une dernière chose.Aime Athénais, aime la comme tu m’as aimé, sans la moindre limite. Je t’en conjure Roméo, ne la tiens pas responsable de ma mort. Je ne veux pas qu’elle porte ce fardeau. Donne lui la vie qu’on voulait y donner. Avec elle, tu auras toujours une part de moi, certainement la plus belle. Surtout ne l’oublie jamais, je vis en elle. Je veux que tu sois heureux même si désormais ça veux dire vivre sans moi.
Il me reste toujours un espoir, un minuscule espoir pour te revenir. J’ai appris que les morts parvenaient à revenir parfois. Sache que je ferais mon possible pour y parvenir mon amour. Je ferais tous ce qui est en mon pouvoir pour te revenir, pour vous revenir. Cependant, je te demande de ne pas te lancer dans cette quête. Ta quête à toi est plus importante. Tu dois t’occuper d’Athénais.

Si je venais à échouer, je veux que tu te souviennes que je t’aime plus que tout le restes. Quand Athénais aura l’âge de comprendre, parles y de moi et dis lui que sa maman l’aimait du plus profond de son être et que mourir pour qu’elle vive était la plus belle manière de mourir.  

Nous nous retrouverons mon amour, nous nous retrouverons toujours qu’importe le nombres d’années qui nous séparerons.


Avec tout mon amour
Juliette.
©️ sobade.


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MessageSujet: Re: JULIETTE ROSE ELIZABETH WHITEQUEEN JULIETTE ROSE ELIZABETH WHITEQUEEN  EmptyLun 18 Fév - 17:46

George Pâris Wickham

feat : michael fassbender

▻ Conte d'origine :Roméo & Juliette avec Orgueils & Préjugés
▻ Nom du personnage de conte : Pâris et George Wickham
▻ Localisation : Au choix soit il s'est fit prendre par la malédiction, soit il y a échappé
▻ Age : la trentaine
▻ Groupe : Storybrookians
LIBRE
Fière • Téméraire • Entêté • Egoïste • Attentif • Impulsif • Enjôleur• Rancunier • Persévérant • Combatif • Charmeur


Fils unique il a perdu ses parents très jeune et fut accueilli par Mr et Madame Darcy. Ses derniers les élevèrent comme leur fils et il fut logé à la même enseigne que leur fils Fitzwilliam Darcy. À la mort de Mr Darcy, il dilapida son héritage et se retrouva rapidement dans le besoin. C'est à ce moment de sa vie que George Pâris Wickham rencontre Enzo Capulet, un roi désireux d'agrandir son royaume en mariant sa fille ainé. Pâris le charma et la main de Juliette Capulet lui a été accordé. L'unique ombre au miroir : la fameuse Juliette était assez récalcitrante à cette idée et elle avait à ses côté son cousin qui ne reculait devant rien pour se mettre entre Pâris et sa cousine. Quand Tyblat est mort, tout aurait dû rentrer dans l'ordre, Pâris aurait dû avoir le champs libre, son mariage était enfin programmé. Il allait devenir roi. Il allait avoir tout ce qu'il désirait, mais la maudite Juliette a disparu le jour de jour j et comme si elle ne pouvait pas faire pire elle avait embarqué sa soeur dans son sillage. Tout tomber à l'eau et Pâris montra son vrai visage aux Capulet en entrant dans une rage folle.

Après cet épisode, et des semaines de recherche vaine pour retrouver les soeurs Capulet il est rentré chez lui et c'est enrôlé dans l'armée pour épongé ses dettes. Au cours d'une soirée organiser en l'honneur de son bataillon, il rencontra Elizabeth Bennet. Une femme qu'il charma avant de perdre subitement, tout comme Juliette Capulet, Elizabeth Bennet fascine George Pâris Wickham.

----- Il a été pris par la malédiction de la méchante reine et sa vie à Stoybrooke est libre. ----





Juliette White-Queen
Elle était censée être à lui. Il a tout fait pour obtenir ses bonnes grâce mais rien n'a su faire plier la princesse. Cette fille l'a rendu fou. Il la voulait et pour lui il l'aurait, d'ailleurs quand Roméo Montaigue a tué le cousin de Juliette sous ses yeux, Pâris à réellement cru que c'était gagné. Roméo avait fait tout le travail à sa place en tuant l'unique personne qui empêchait le père de Juliette de forcer le mariage de sa fille. En cette période de deuil, Pâris était victorieux et se délectait de la souffrance de Juliette, à ses yeux si elle avait fait les bons choix depuis le début elle aurait pu s'éviter tout cela. Quand son mariage avec l'ainée des Capulet fut annoncé pendant le jugement de Roméo Montaigue ce fut le graal pour Paris mais la jeune effrontée en avait décidé autrement. Tout son royaume l'avait sous estimé et le jour de la cérémonie les soeurs Capulet avaient disparu. Une nouvelle qui avait mit Pâris dans une colère monstrueuse. Juliette lui a fait vivre sa plus grand honte en se refusant ouvertement et de manière indiscutable à lui. Il la déteste autant qu'il se trouve fasciné par cette dernière.
Romain Whitechappel
Pâris est son rival et comme on peut s'y attendre Roméo n'aime pas du tout cet homme. Il le trouve beaucoup trop prétentieux et surtout indigne de sa Juliette. Il ne supporte pas que ce Wickam tourne autour de celle qui l'aime. Il ne l'a jamais supporté. Sauf que actuellement Roméo devenu Romain ne se souvient plus du visage de son ennemi juré. (plusieurs possibilités d'évolution à voir en mp suivant si Pâris a été pris ou non dans la malédiction).

>> proposition de lien : si Pâris est dans le groupe maudit, ils auraient pu être amis durant la malédiction
Fitz Darcy
Darcy a considéré pendant longtemps Wickam comme son frère. Il lui aurait tout donné pour l'aider mais Wickam en voulait toujours plus. Alors Darcy a décidé tout simplement de couper les ponts avec cette personne qui était néfaste pour lui et pour sa famille. Darcy n'avait pas non plus apprécié qu'après que George ait perdu sa première promesse de mariage, il tente de se marier avec la jeune soeur de Darcy sans compter la dilapidation de la fortune de leur famille comme cela. Bien sûr George fut LE sujet de dispute entre Lizzie et Darcy et c'est également ce dernier qui amena Darcy à partir de leur monde. Si George était au courant il se délecterait de cette histoire.
Elizabeth Bennet
Elizabeth était la dernière femme sur laquelle il a jeté son dévolu. Contrairement à Juliette, Lizzie était tombé sous son charme allant même à le plaindre jusqu'à ce qu'elle reçoive la lettre de Fitz. Depuis elle le méprise pour avoir joué avec lui
Le mot du créateur:


MAJ de George Pâris Wickham

Evolution de son histoire
La vie est drôle parfois. Alors que Pâris apprend que Juliette est toujours avec son maudit Roméo et que de surcroit elle est enceinte de ce dernier, il reporte son attention sur Elizabeth Bennet et la petite orgueilleuse a finalement réussi à trouver chaussure à son pied. Ivre de jalousie et remplie de rancune, Pâris décide de se venger de la première femme qui a engendré ce cercle vicieux de rejet : Juliette Capulet.

Il n’a pas fallu longtemps à Pâris pour découvrir l’identité de la nouvelle personne que Juliette s’était mise à dos, et pas des moindre c’est Ingrid d’Arendelle. La vie est bien faite, Juliette ennemie avec la grande puissance du moment. Pâris est donc retourné dans le monde des contes pour s’allier à cette reine et pourquoi pas prendre les plein pouvoir à Vérone.


Evolution de ses liens


Juliette & Romain :
- Ils se sont retrouvés et vivent ensemble à Storybrooke, ils reviennent régulièrement aux Pays des Merveilles.
- Juliette est enceinte et courant du mois d’Aout elle sera mise dans le coma et accouchera d’une fille.  
- Les amants maudits découvriront que leur premier né n’est pas mort et qu’il s’appelle : Charlotte Answer (et oui surprise c’est une fille)

Elizabeth & Fitz : Ils se sont mis en couple officiellement, avec eux c’est le ciel et bleu les oiseaux chantent …


   
 


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MessageSujet: Re: JULIETTE ROSE ELIZABETH WHITEQUEEN JULIETTE ROSE ELIZABETH WHITEQUEEN  EmptyLun 18 Fév - 17:47

Gothel Black : La fée noire

feat : carice van houten

▻ Conte d'origine : Raiponce

▻ Nom du personnage de conte : Gothel et la Fée Noire

▻ Localisation : Dans le monde des contes

▻ Occupation/métier : Fée noire

▻ Ses pouvoirs : Voler, changer de taille, métamorphose, sortilège.

▻ Groupe : Original.
LIBRE
manipulatrice, rusée, hautaine, égoïste, déterminée, bonne comédienne, secrète, minutieuse


▻ Elevée par les fées elle a été expulsé de la congrégation quand elle a touché à la mage noire. Abandonnée de tous et bannie par les fées dans le royaume des Ténèbres elle nourrissait une haine sans pareille envers ses congénères. Bien qu'au départ elle ne pouvait quitter ce royaume sans être appelé par une tierce personne a la rejoindre, elle a fini par détourner cette règle à la mort de la dernière reine des fées (tué par Maléfique)

▻ Elle a fini par rejoindre le royaume du Ponant où elle a servi pendant de nombreuses années le dieu Kal Torak. Puis quand ce dernier est mort, elle a continué à le servir à sa façon en exauçant le dernier souhait du dieu : enlever le fils hérité de la couronne de Riva, le Prince Geran, fils de Balgarion et de Ce’Nedra.

▻ Depuis qu'elle a retrouvé sa liberté elle kidnappe des enfants en concentrant ses efforts sur des enfants pourvus magique. Son objectif est simple : Dominer le monde magique en se constituant une armée d'enfant.  

▻ Petit passage expliquant comment elle a volé son bébé à Juliette : http://storybook-chronicles.forumactif.com/t1496-juliette-white-queen#32293
Présentation Raiponce : http://storybook-chronicles.forumactif.com/t1332-c-est-raiponce-charlotte-answer
Présentation Flynn : http://storybook-chronicles.forumactif.com/t1259-flynn-tu-etais-mon-nouveau-reve

▻ Alors qu'elle a élevé Raiponce comme sa fille en puisant dans ses pouvoirs pour garder jeunesse et puissance absolu, la sale avorton à oser fuir le royaume avec Flynn Rider. Jamais elle n'aurait cru que le gamin puisse ouvrir un portail dans son royaume plus protéger qu'aucun autre. Depuis ce jour, la fée noire les recherches pour récupérer ce qui lui appartient.

▻ Récemment la fée noire a également enlevé les enfants de celle que tout le monde craint Regina Mills et Robin de Locksley. Une tâche qui avait été aussi facile que celle de son précédant enlèvement d'enfants royaux.
Présentation Lina : http://storybook-chronicles.forumactif.com/t986-lina-je-suis-pas-une-princesse-j-ai-pas-de-couronne-mais-j-ai-un-arc
Présentation Richard : http://storybook-chronicles.forumactif.com/t987-richard-when-orphans-had-to-grown-on-their-own







Charlotte Answer
Sa petite fleur chérie. Raiponce était pour Gothel l’enfant qu’il fallait absolument avoir. Elle était celle qui pouvait lui garantir la vie éternelle et surtout elle était la plus puissante des enfants qu’elle avait enlevé. Gothel a coupé du monde Raiponce allant jusqu’à l’enfermer seule dans une tour pour qu’elle ne puisse jamais avoir d’ami. Maintenant que Raiponce a réussi à s’enfuir, la fée ne désire qu’une chose : la retrouver à tout prix et cette fois-ci elle ne la laissera plus s’enfuir.  
Flynn Rider
L'enfant de lumière, Gothel le voulait pour ajouter un spécimen exceptionnel à son palmarès mais aussi pour honorer une dernière fois le dieu qu’elle a servi pendant longtemps. Désormais, elle s'en mort les doigts et pour cause c'est à cause de ce morveux que Gothel a perdu Raiponce. Cependant, elle sait que si elle se sert de lui, elle réussira a récupérer Raiponce.  
Juliette White-Queen
Gothel lui a pris sa fille. Juliette la hait. Elle la hait pour l'avoir privé de sa fille en lui faisant croire qu'elle avait perdu son enfant. Gothel quant à elle ne ressent pas la moindre culpabilité pour son geste. Elle n'a pas peur de la Reine Blanche. Par contre s'il faut la tuer pour récupérer Raiponce elle le fera car après tout c'est elle qui a élevé cette enfant non Juliette.
Romain Whitechappel
Il est l'homme qui lui a donné sa petite fleur. Enfin, il est le père de raiponce. Bien sur Gothel se fiche éperdument de ce petit roi de pacotille qui contrôle la terre. Elle s'en méfie tout de même parce qu'elle sait que le roi n'est pas une personne douce. Elle sait pertinemment que s'il apprend qu'elle lui a enlevé sa fille elle risque de perdre sa tête. Mais la fée a plus d'un tour dans son sac. Elle sait qu'elle peut utiliser Juliette et Raiponce contre Romain et n'hésitera pas à le faire. Après tout, tous les coups sont permis pour vivre non ?
Lina Mills de Locksley
Lina a été kidnappée avec son frère par la Fée Noire quand ils n'étaient encore que deux bambins. Lina a vite été consciente de qui était la Fée et s'est jurée de fuir avec son frère dès qu'ils le pourraient. Lui rendant la vie impossible, Lina et Richard lui faisaient la vie dure, à chaque fois ils se protégeaient l'un l'autre. Au final, ils ont réussi lors d'une nuit où elle ne veillait pas à s'enfuir, Lina s'emparant d'un arc et d'un carquois remplis de flèches, tandis que Richard s'est emparé de grimoires. Lina déteste la Fée Noire et elle a juré le jour où elle en sera capable de lui faire la peau.
Richard Mills de Locksley
Gothel est celle qui les a enlevé de leurs parents, celle qui les a enfermé dans ce monde parallèle. Richard a une rancœur et une envie de vengeance à l'égare de cette fée maléfique, à qui il n'hésitera pas à mettre des bâtons dans les ailes à la première occasion. Elle les a éduqué Lina et lui, mais cela ne veut pas dire que le fils de Robin des bois se sent redevable en quoi que ce soit.
Regina Mills de Locksley
La fée noire a enlevé les jumeaux de Regina et Robin, Lina et Richard, alors qu’ils n’étaient âgés que de 3 mois. Les enfants de la méchante reine et de l’un des plus grands héros de son temps, elle trouverait sans doute quoi en faire. Deux pour le prix d’un, que demander de mieux ? Regina voue à cette femme une haine féroce, à cause d’elle, elle n’a pas vu grandir ses enfants, les seuls qu’elle ait pu porter. Elle a d’ailleurs vrillé durant cette période, retrouvant les ténèbres qu’elle avait eu tant de mal à chasser de sa vie. La fée noire se délecte du mal qu’elle a pu infliger à cette sorcière qui aurait pu être une rivale sérieuse. Aujourd’hui, mieux vaut que leurs routes ne se croisent pas.
Robin de Locksley
Robin hait la magie, c'est un fait, encore plus lorsqu'il la subit et de ce fait la fée noire, au même titre que Frollo est pourvue d'une place de choix dans le classement des ennemis à abattre, si l'occasion est donnée à l'archer de mener à terme sa vengeance. Cette ignoble créature l'a en effet privé de ses jumeaux Lina et Richard, enlevés alors qu'ils n'avaient pas plus de trois mois. Retenu captifs dans un ailleurs indéfini, ils grandiront à vitesse grand V loin de leurs parents. Robin supportera difficilement de ne pas les avoir vu grandir et peinera à trouver ses marques. Toujours est-il qu'il loue à l'encontre de la fée noire, une haine féroce, qui pourrait, s'il venait à perdre le contrôle, le conduire à de sombres représailles.

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MessageSujet: Re: JULIETTE ROSE ELIZABETH WHITEQUEEN JULIETTE ROSE ELIZABETH WHITEQUEEN  EmptyLun 18 Fév - 17:50

Juliette White-Queen


❝ La vie est une succession de musique qui mène toute vers la même issue ❞


Juliette Capulet

année 0
16 mai ♅ naissance

année des 3 ans
21 juin ♅ naissance Rosaline

année des 8 ans
29 septembre ♅ 1ère rencontre avec Roméo

année des 18 ans
13 février ♅  Fiançailles forcé avec Pâris
25 mars ♅ Bal masqué et retrouvaille avec Roméo
31 mars ♅ Mariage avec Roméo
2 avril ♅  Morts de Tybalt et Mercutio.
3 avril ♅ Rencontre de la "sorcière" et arrivée aux Cygnes.

année de ses 20 ans
1er juillet ♅ Evasion réussi des Cygnes avec Roméo et Benvolio et début du voyage.
La Reine Blanche

année des 20 ans
13 juillet ♅ Arrivé à Wonderland
15 juillet ♅ Son couronnement
13 aout ♅ Apparition de mes pouvoirs

année des 29 ans
10 avril ♅ Sa grossesse est officialisée
30 juin ♅ Mort d'Alice et perte de son bébé
05 juillet ♅ Le sort noir frappe le monde des contes





Ses pouvoirs

Juliette possède plusieurs facultés magique notamment grâce à sa bague dans laquelle est canalisée toute la magie qu'Albertof lui a offerte. Elles est la seule à pouvoir la retirer et toutes personnes qui tenteraient de la lui soustraire de force se retrouverait brûlé au troisième degrés. :

- Atmokinesis (contrôle sur les éléments météorologiques) : Cefut après son arrivée à Wonderland qu'un mage mourant qui croyait dure comme fer en une vielle prophétie lui offrit ses pouvoirs. Ces derniers étaient canalisés dans une bague. Depuis ce jour, Juliette est capable de contrôler les éléments météorologiques. Cependant, elle a jamais été capable de les contrôler à la perfection, ses dernier étaient plus dictés par mes émotions.

- Invulnérabilité au température, tout comme mon contrôle sur les éléments météorologiques, je n'ai pas toujours été invulnérable aux températures. Cette capacité est un effet secondaire des pouvoirs de la bague.

- Affinité Animale, cette capacité elle la possède depuis sa plus tendre enfance. Elle a toujours aimé les animaux. A Wonderland elle a sauvé un bébé aigle, qui avait été abandonné par sa mère, ce fut son meilleur ami, et plus fidèle protecteur après Roméo. Elle aime son aigle autant que si c'était un membre de sa famille, elle la nommait Dawn. Ce don est simple, elle ressent les émotions de tous les animaux, et ses derniers la comprenne sans le moindre mal.

- Savoir en potions, le triste sort qui sont réserver aux reines qui vivent avec les mages. Elle n'a pas eu le choix. Cependant elle dois avouer qu'elle a apprécié ce nouvel apprentissage. Ces nouvelles expériences, qui lui ont permis d'ouvrir à moi une large gamme de possibilité. Cependant, elle n'était pas des plus doué, la présence de ses amis les mages étaient plus que conseillé lorsqu'elle s'attaquait à cette forme de magie.  
 


Rosaline "Alice" Capulet

Il était une fois deux soeurs, dont l'amour était si fort qu'il leur offrait à chacune uen confiance aveugle en l'autre. Cette histoire correspond à celle de Rosaline et Juliette. Rosaline était la plus jeune et elle a suivi sa soeur dans ses aventure envers et contre tout. Au yeux de Rosaline, qu'importe le prix a payer si cela permettait d'être avec Julietten il vallait le coup d'être payé. En ce qui concerne Juliette sa soeur était tout ce qu'elle possédait de plus cher. Elle l'aimait plus que sa propre vie, quand elle est morte, elle cru mourir elle même.

Jules Montaigu

L'enfant de Roméo et Juliette, il est mort le même jour que sa tante. Il n'a jamais connu ses parents autrement qu'à travers le ventre de sa mère. Il est la plus grande souffrance de ses parents, ce qui les a séparé. Il a été enterré par son père au côté de sa tante.  

Tybalt Capulet

Il était son cousin paternel, son protecteur, son confident, son meilleur ami, il était tous pour elle, il l'aimait et voyait en Juliette plus qu'une amie, quad il a appris son mariage avec Roméo Montaigu il est devenu fou de jalousie. Il est mort tué par ce dernier sous les yeux de sa cousine horrifiée. Il est certainement le plus grand regret de Juliette.

Les mages

« PNJ important pour elle ».
- Albertof (décédé) : Contrôle de l’élément de l’air 
- Godric : contrôle les éléments de la terre
- Perceval (décédé) : contrôle les éléments liées aux feu
- Alfred :don de l'esprit (clairvoyance et télépathie)
- Peter : contrôle les éléments liées à l'eau

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MessageSujet: Re: JULIETTE ROSE ELIZABETH WHITEQUEEN JULIETTE ROSE ELIZABETH WHITEQUEEN  EmptyLun 18 Fév - 17:50

Les liens de toutes une vie
« Nous n’avons pas besoin de nous précipiter si quelque chose doit arriver. Cela arrivera au bon moment, avec la bonne personne et pour la bonne raison. »




Romain Montaigu
Son grand amour & son mari


Charlotte Answer
Sa fille la princesse disparue

Belle French
L'amie qui a sauvé son âme


Regina Mills
Grosse méfiance, légère tension


Robin Locksley
Son meilleur ami

Rozen March
Elle lui rappelle son royaume


Louise Lemire
Sa colocataire


Fa Mushu
Son dragon préféré

Emma Swan
Celle qui l'a toujours aidé


Cora Mills
Ennemie mortelle


Jefferson
Elle veut se faire pardonner

Freya
La meurtrière d'Alice


Aeline Axley
Incompatibilité d'humeur


Anne Bonny
Il paraît que tu veux sa mort

Fitz Darcy
Il se méfie d'elle


Ariane Eeyore
Elle t'aidera tant qu'elle le pourra


Durnik De Sendarie
Son patron, un ami précieux

Ariel d'Altantica
Sa meilleure amie


Megara Ballmer
Le bras droit de son mari, elle la déteste et la jalouse


Little John
Son second meilleur ami

Diazpro Bellamy
Une amie précieuse


Absolem Benedicte
Meilleur ami de Cora, ennemi par substitution


Noa Wild
La fée qui veille sur elle

Richard Mills De Locksley
Son filleul


Neïlina Kramers
L'ex amante de son mari elle la déteste


Cly Porter
Il l'insuporte

athéna cheschire
Une amie de son mari dont elle se méfie


George Pâris Wickham
Son ex fiancé qu'elle déteste


Walsh Jekyll
Ancien client des cygnes qui lui voulait du bien

Flynn Rider
Le petit ami de sa fille


Andreas Kostas
Il pense que je qu'elle est son frère, tentera par la suite d'en faire son arme sur patte


Will Scarlet
Elle la aidé à un moment où il en avait le plus besoin

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